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Grands anecdotiers, les Libanais considèrent à juste titre que l'humour est indispensable dans la vie quotidienne, notamment par son pouvoir de faire passer les messages les plus sérieux. Les histoires drôles ont donc une grande importance, que ce soit dans les milieux politiques, au palais de justice, dans la rue ou ailleurs.
Depuis l'époque du Wali turc jusqu'à celle du Mandat sous le Haut-Commissaire français, en passant par le homsiote (originaire de Homs, l'équivalent du belge pour les libanais) ou par Abou El Abed, ce personnage beyrouthin très astucieux, ou encore le fou de Chanay, bouffon de l'Emir Béchir, Prince du Liban qui gouverna le pays au XIXe siècle, l'humour a toujours été un moyen privilégié pour raconter des histoires et transmettre des messages.
On est tenté de croire que raconter des potins est un art libanais.
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