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Comment Adolf Hitler a pris le pouvoir grâce aux banquiers qui ont fabriqué sans interruption de la fausse monnaie et comment l'Histoire a été réécrite pour totalement effacer leur rôle dans le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale et de l'Holocauste.
Si à l'époque de Napoléon, une guerre durait en général à peine quelques jours, grâce à la planche à billets utilisée à partir de 1914 par les banquiers français et allemands, la Première Guerre mondiale a duré presque 5 ans envoyant «gratuitement » des millions d'hommes dans les tombes.
Et c'est précisement l'usage massif de cette fausse monnaie dès 1914 qui a créé Hitler de toutes pièces le 11 Novembre, le « Destin » ou « La Providence » se chargeant ensuite de le protéger, en lui permettant d'échapper grâce à « sa voix intérieure » à des balles, à des obus, à des bombes, au total à plus de 40 tentatives d'assassinat, et cela pendant 27 ans.
Mais jamais Hitler n'aurait pu prendre ne serait-ce qu'un semblant de pouvoir sans la seconde planche à billets des banquiers centraux de la République de Weimar, sans l'explosion de Wall Street, et ensuite sans l'aide de la Banque Centrale suisse.
Dans ce livre, Pierre Jovanovic aborde un sujet plus tabou encore que la planche à billets grâce à un rapport unique de l'OSS ( devenu CIA ) jamais publié en français, sur la personnalité hors normes de celui qui allait mettre l'Europe à feu et à sang et déclencher l'Holocauste en entendant « des voix ».
Pour la première fois, un livre montre le rôle primordial des banquiers qui ont permis de prolonger de plusieurs années aussi bien la Première que la Seconde Guerre mondiale, juste par avidité, devenant par ce fait les plus grands criminels de guerre de tous les temps.
Comment un personnage aussi obscur qu’Adolf Hitler, peintre sans talent et quasi clochard, a pu se hisser jusqu’aux plus hautes sphères du pouvoir grâce aux banquiers qui ont fabriqué sans interruption de la fausse monnaie et comment l’Histoire officielle a été ré-écrite pour effacer leur rôle dans le déclenchement de la seconde guerre mondiale et de l’Holocauste. Le traité de Versailles ayant obligé l’Allemagne à indemniser les vainqueurs pour dommages de guerre, très vite les montants demandés en or devinrent insupportables. Les banques se mirent alors à faire fonctionner la planche à billets, ce qui entraina une inflation record (le dollar passa de 4 marks à 176 000 marks et plus), un chômage de masse, la misère généralisée, les suicides et le désespoir de toute une population. Alors qu’il aurait fallu arrêter tout de suite ce système pernicieux, les banquiers continuèrent sans se soucier des conséquences, ce qui permit de prolonger de plusieurs années aussi bien la première que la seconde guerre mondiale, juste par avidité, devenant de ce fait les plus grands criminels de guerre de tous les temps. Les banquiers suisses qui « blanchirent » l’or volé par les nazis ne furent pas les derniers à la manœuvre !
Cet ouvrage historique est composé de deux parties, une enquête bien sourcée menée par le journaliste économique Pierre Jovanovic sur le rôle des banques et de l’économie en général dans la montée du petit caporal et un document de l’OSS américain (ancêtre de la CIA) composé de plusieurs études datant de 1942/43 portant sur le caractère et la personnalité d’Hitler finement analysés dans le but de mieux gérer le personnage. Cette partie n’est pas la moins inintéressante dans la mesure où on apprend beaucoup de choses sur sa psychologie. Il souffrait de schizophrénie paranoïaque, entendait des voix, un peu comme Jeanne d’Arc et était une sorte de composite de Lord Byron et d’Al Capone. Obsédé par la force, la violence et domination, il trainait le complexe de sa propre faiblesse physique, de son absence de testicule droit, de relations difficiles voire inexistantes avec les femmes et de son origine douteuse. De son père bâtard, il aurait hérité d'une part de sang juif, d’où son obsession de la pureté raciale. Il haïssait son père, violent et alcoolique et adorait sa mère qu’il identifiait à la mère patrie, l’Allemagne. Il était végétarien. Il ne fumait ni ne buvait. Fait très étrange, pendant la guerre de 14, il aurait pu être tué 5 fois, puis il échappa à rien moins qu’à 42 tentatives d’assassinat. Fléau de Dieu ? Ange exterminateur ? En tout cas, cet ouvrage mérite tout notre intérêt ne serait-ce que dans la mesure où il replace magistralement cette affaire dans son véritable contexte socio-économique. Sans cette maudite planche à billets, Hitler n’aurait fait que peindre ses aquarelles en HP…
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