Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

Adieu à la France qui s'en va

Couverture du livre « Adieu à la France qui s'en va » de Jean-Marie Rouart aux éditions Le Livre De Poche
Résumé:

Jean-Marie Rouart
Adieu à la France qui s'en va

Dans ce livre qui mêle autobiographie et histoire, Jean-Marie Rouart se penche sur une énigme : qu'est-ce que la France ? Ou, plutôt : quelle est sa France ? Cette question ne surprendra pas de la part d'un écrivain dont les romans ou les... Voir plus

Jean-Marie Rouart
Adieu à la France qui s'en va

Dans ce livre qui mêle autobiographie et histoire, Jean-Marie Rouart se penche sur une énigme : qu'est-ce que la France ? Ou, plutôt : quelle est sa France ? Cette question ne surprendra pas de la part d'un écrivain dont les romans ou les chroniques n'ont cessé d'interroger les « papiers d'identité » de la France.
Car Jean-Marie Rouart n'est pas « progressiste », ni « réactionnaire ». Sa France, de son aveu même, est « un jeu de miroirs avec la mémoire », où l'on trouve Jeanne d'Arc et Romain Gary, l'aventure coloniale et la Résistance, l'affaire Dreyfus et le martyre des moines de Tibhirine, Vichy et Valmy, Stendhal et de Gaulle, Drieu La Rochelle et Chateaubriand. « Sa » France, c'est aussi une aptitude à l'universel toujours contrariée par des régressions identitaires ; c'est une façon d'aimer, une manière agnostique de rester chrétien. Avec ce livre, écrit à la première personne, l'auteur a donc choisi de voyager par l'esprit dans l'éternité d'une nation où l'on a l'habitude de faire de la littérature avec l'histoire, et de la politique avec la littérature.

A l'heure des menaces supranationales et des communautarismes triomphants, Jean-Marie Rouart pose la question suivante : comment sauver la France d'elle-même ? Com-ment préserver ce dosage improbable d'esprit et de racine, de fidélité à une mémoire et de disponibilité à l'avenir ? Sommes-nous les contemporains d'une France qui « s'en va » ou d'une France qui demeure ?

Donner votre avis