Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
"La mission la plus dure c'est faire pipi sans se laver les mains après."
"Les petits riens" du premier tome que je préfère sont "les mots doux" et "le bureau"! Le premier pour sa poésie et sa justesse, et le second pour son humour et le cri du cœur.
Et aussi le trop bien "Saint-Valentin"...No comment.
Merci aux amicaux lecteur.com, merci au désopilant fluide glacial, et merci au dessinateur /auteur/ coloriste Yannick Grossetête pour cette délirante, brute, sans tabou, drôle, poussée à l’extrême, tendre parfois et souvent tellement vraie BD !
La couverture souple me va bien aussi !
"Tu sais, la vie c'est pas Walt Disney, Justine n'oublie pas qu'à la fin il y a la mort."
Alors justement à propos de mort heureusement que l'auteur n'est pas encore décédé car il va pouvoir toujours nous régaler avec d’autres albums … Même pas peur !
Vive l'amour, vive la vie !
Aussi caustique que le tome 1
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J’avais lu et très apprécié le 1er tome de cette série de tranches de vie. Je n’ai donc pas hésité à lire le second. Et encore une fois, je n’ai pas été déçue par ce petit manuel qui se lit vite mais qui peut être relu plusieurs fois , juste pour le fun .
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Une bande dessinée sans prétention, qui n’essaie pas de nous éblouir mais qui propose de bons moments de rigolade.
Beaucoup de thèmes actuels sont abordés, croqués avec un humour noir, à la limite grinçant.
Les situations sont tout à fait crédibles, je parie que tout le monde a au moins expérimenté une des scènes. (en couple). C’est parfois « terre à terre », parfois décalé, et souvent juste.
Le dessin est très simple, sans fioritures, juste l’essentiel du mouvement, des expressions prises sur le vif, la couleur est monochrome.
Rien dans le détail , tout dans l’action directe. Et cela fonctionne très bien.
Je peux le conseiller à tous les couples, mais aussi aux célibs, pour donner envie de se mettre en couple, haha
Quand l'absurde s'invite dans le quotidien des amoureux
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Cette bande dessinée est éditée chez l'excellent Fluide Glacial.
J'apprécie particulièrement la collection des Bidochon, Carmen Cru, Soeur Marie-Thérèse, Edika et tant d'autres qui m'ont toujours donné la patate,la pêche quoi !
Vous savez, cet humour pince sans rire, grinçant, parfois lourdaud, absurde mais toujours satirique.
Alors quelle joie quand j'ai vu que cet auteur a choisi cet éditeur pour mettre en scène des saynètes de la vie quotidienne.
Et pas n'importe quel thème : celui de l'amour et du couple. Mais surtout l'amour actuel, celui des réseaux sociaux, des sites tels que Meetic, Tinder et autres consorts. Tous les travers et situations cocasses sont abordés.
On tombe bien sûr dans les clichés (mais qui dit "cliché" montre bien souvent la réalité: parfois je me prêtais à sourire d'une situation qui m'a parlé...).
Les relations amoureuses sont décortiquées à travers le prisme humoristique (à prendre au sixième degré au moins :) et sont grossies au maximum. Plusieurs fois, j'ai comparé ces dialogues avec les romans graphiques de Fabcaro.
C'est fin, ça se mange sans faim. (pour info: j'ai relu la BD deux fois en l'espace de plusieurs jours). J'ai même "screené" quelques planches et envoyé à mes amis. (il y en a qui se reconnaitront dans certaines situations farfelues).
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Le dessin est clair, aéré, sous forme de petites bulles de couleurs presque monochrome, avec un trait net et esquissé. Les visages des personnages ne sont pas marqués (mais cela ne m'a pas gêné).
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J'ai passé un très bon moment de détente et je le conseille à tous ceux qui aimeraient rire de leur couple, de leur travers, de leur complicité. La vie est Amour !
Ames romantiques s’abstenir ! Si vous croyez au grand amour à la Rose et Jack dans « Titanic », passez votre chemin car dans « Merci l’Amour, merci la Vie ! » Yannick Grossetête met à mal toutes vos croyances et vos fantasmes…en les confrontant à la réalité des relations amoureuses de ce premier quart du XXI eme siècle. Et c’est corrosif à souhait puisqu’à l’heure des réseaux sociaux et des sites de rencontres, l’Amour avec un grand A est aux prises avec l’ego !
L’auteur qui œuvre ici en solo, contrairement à son diptyque précédent « Michel French lover » où Yann le Gouefflec (« Mondo reverso ») était au scénario, marche dans les pas de Fabcaro. Changeant de style graphique et optant pour une veine beaucoup plus épurée style dessin de presse, il nous distille des instantanés amoureux piquants voire grinçants avec rappels internes et running gags (dont la fameuse variation sur « Titanic »).
Mais …. et c’est là où le bât blesse, il ne parvient jamais réellement à sortir des sentiers battus et à éviter les clichés en abordant ces thèmes tant de fois visités. Il n’arrive pas contrairement à Fabcaro dans « Et si l‘ amour c’était aimer » ou « Moins qu’hier (plus que demain) » à trouver une voie et une voix nouvelles. L’album format manga se lit très vite et est aussi vite oublié… Plaisant mais nullement essentiel.
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