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William Nicholson

William Nicholson
William Nicholson est né en 1948. Ses romans pour enfants ont été traduits dans le monde entier. Ses pièces sont jouées en Grande-Bretagne et aux États-Unis où elles ont remporté de grands succès. Il a signé le scénario de dix-neuf films dont Les Ombres du c?ur, Gladiator, et dernière... Voir plus
William Nicholson est né en 1948. Ses romans pour enfants ont été traduits dans le monde entier. Ses pièces sont jouées en Grande-Bretagne et aux États-Unis où elles ont remporté de grands succès. Il a signé le scénario de dix-neuf films dont Les Ombres du c?ur, Gladiator, et dernièrement l'adaptation des Misérables. L'Intensité secrète de la vie quotidienne est le troisième de ses romans pour adultes, paru en 2009. William Nicholson est marié à la petite-nièce de Virginia Woolf. Le couple vit à Lewes, dans le Sussex, avec ses trois enfants.

Avis sur cet auteur (4)

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    Couverture du livre « Le vent de feu Tome 1 : Les secrets d'Aramanth » de William Nicholson aux éditions Gallimard-jeunesse

    Aurélie Gloux sur Le vent de feu Tome 1 : Les secrets d'Aramanth de William Nicholson

    J'ai beaucoup aimé ce livre. Je trouve que le cadre d'écriture est très original, surréel mais qui pose quelques questions et réflexions sur le réel (cette phrase n'est pas très claire donc il vaut mieux lire le livre)

    J'ai beaucoup aimé ce livre. Je trouve que le cadre d'écriture est très original, surréel mais qui pose quelques questions et réflexions sur le réel (cette phrase n'est pas très claire donc il vaut mieux lire le livre)

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    Couverture du livre « L'intensité secrète de la vie quotidienne » de William Nicholson aux éditions Le Livre De Poche

    Emmanuelle matoussowsky sur L'intensité secrète de la vie quotidienne de William Nicholson

    Si j'étais sévère, je dirais... beaucoup de pages pour pas grand-chose…
    Il a fallu effectivement 600 pages à l'auteur pour ausculter la vie très quotidienne d'une douzaine de personnages dans une bourgade du Sussex pendant 6 jours. 6 jours pendant lesquels, des événements minimes ou...
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    Si j'étais sévère, je dirais... beaucoup de pages pour pas grand-chose…
    Il a fallu effectivement 600 pages à l'auteur pour ausculter la vie très quotidienne d'une douzaine de personnages dans une bourgade du Sussex pendant 6 jours. 6 jours pendant lesquels, des événements minimes ou d'importance rythment le train-train de nos très british protagonistes.
    Laura, mère de famille et archiviste, mariée à Henry reçoit une lettre de Nick, son premier amour de jeunesse, Nick qui l'a laissée tomber comme une vieille chaussette et qui revient 20 ans plus tard, apparemment persuadée que Laura va lui tomber dans les bras… Tatata ! Que va-t-il se passer ?
    Henry, le mari de Laura, ne sait plus trop où il en est, mais une chose est sure, il n'a pas la vie qu'il voudrait vivre.
    Liz, mère célibataire d'Alice, débordée et sexuellement accro au père de cette dernière, un égoïste fini celui-là, va rencontrer le professeur principal d'Alice pour faire le point sur son blues adolescent.
    Le pasteur du coin confesse et conseille avec bienveillance et sans discrimination ceux qu'il croise, tentant de mettre au diapason ses actions et la foi qu'il a perdue, même si pour cela il provoque un scandale en offrant des obsèques religieuses au chien d'une de ses paroissiennes ; le dernier paysan du village tempête contre tous ces citadins qui envahissent les campagnes, persuadés qu'ils sont eux-mêmes de venus des campagnards ; et les adolescents traînent leur blues, leur mal-être ou leurs angoisses… pareil que les nôtres, quoi.
    Et comme nos voisins d'outre-manche n'ont pas pour habitude de s'épancher en public, c'est l'auteur qui nous livre leurs pensées les plus intimes, leurs états d'âme, leur espoirs inavoués et leurs turpitudes secrètes.
    Impossible alors de ne pas s'identifier à ces messiers et mesdames tout-le-monde avec leurs joies, leurs angoisses, leur stress et leurs questions existentielles sur l'amour, l'amitié, le couple, la foi et les choix de vie…, leurs adolescents en crise et leurs parents vieillissants.
    On a l'habitude des romans transposés au cinéma, ici on a plutôt l'impression d'une série en 6 épisodes transposée en livre… d'où certaines longueurs.
    On s'amuse parfois, on sourit souvent, on s'ennuie aussi un peu… l'avantage étant que le fait sauter quelques pages ne nuit en rien à la compréhension de l'histoire et accélère un peu le mouvement… !
    Un roman un peu longuet donc, mais charmant et plein de bienveillance, alors pourquoi pas ?

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    Couverture du livre « L'amour mode d'emploi » de William Nicholson aux éditions Gallimard-jeunesse

    Lewis Plectrude sur L'amour mode d'emploi de William Nicholson

    En fait j'ai acheté ce livre surtout à cause des couleurs des chaussures et pas du reste (je sais la raison est stupide mais bon). Bon sinon, il s'agit d'une histoire d'adolescent à la recherche de l'amour (en gros), et qui se posent pas mal de questions sur le sexe. Ca peut être intéressant...
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    En fait j'ai acheté ce livre surtout à cause des couleurs des chaussures et pas du reste (je sais la raison est stupide mais bon). Bon sinon, il s'agit d'une histoire d'adolescent à la recherche de l'amour (en gros), et qui se posent pas mal de questions sur le sexe. Ca peut être intéressant j'imagine, pour un ado ou un ancien ado qui s'est posés les mêmes questions dans sa vie, mais moi je suis restée très détachée de ce bouquin, ça ne me concernait pas, comme déjà au lycée je ne me sentais pas concernée.
    C'est pour ça que j'ai adoré le personnage de Pablo Pico (qu'on ne voit pas assez à mon avi), qualifié d'homo (pour des raisons débiles) par des lycéens abrutis. En fait il s'avère qu'il est "asexué" et je me suis sentie beaucoup plus proche de lui que de tous les autres pour le coup. Surtout qu'en plus il profitait du temps qu'il ne perdait pas avec le sexe pour lire tout ce qu'il pouvait. Très bien.
    D'autres sujets sont abordés comme l'adultère, ou les hommes qui frappent les femmes, et y a pleins de détraqués dans ce bouquin à part ça.
    Sans me déplaire totalement, je n'ai pas accroché c'est tout, parce que le sujet ne me disait rie tout simplement.
    Cependant quelque chose m'a vraiment déplu : c'est les préjugés sur l'homosexualité (j'ai grincé des dents), et cet abruti de Max (un des personnages les plus cons du bouquin).
    Je ne pense pas qu'il soit à rejeté totalement, peut-être que pour des jeunes il peut aider à s'ouvrir plus facilement sur l'amour et le sexe. Pour moi c'était juste chiant, et je savais pas si je devais rire (ce que j'ai fais à de nombreuses reprises) ou râler.

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    Couverture du livre « Nobles guerriers Tome 2 ; jango » de William Nicholson aux éditions Gallimard-jeunesse

    Véronique de DEVELAY sur Nobles guerriers Tome 2 ; jango de William Nicholson

    Une nouvelle série de William Nicholson, qui après sa merveilleuse
    Trilogie "le vent des flammes", nous entraîne dans un monde à la fois poétique, fantastique et plein d'aventures pour trois héros originaux et sympathiques.
    A lire. Et vivement le 3ème tome !

    Une nouvelle série de William Nicholson, qui après sa merveilleuse
    Trilogie "le vent des flammes", nous entraîne dans un monde à la fois poétique, fantastique et plein d'aventures pour trois héros originaux et sympathiques.
    A lire. Et vivement le 3ème tome !