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Deux femmes de quarante ans que tout oppose se lient d’amitié à Venise.
Antonella est une vieille fille pudibonde, aigrie qui s’offre un voyage organisé de huit jours dans une pension presque sordide.
Carla est veuve d’un riche américain, millionnaire, loge au Danieli. Elle est venue sur les traces de son amour de jeunesse avec lequel elle a vécu un an à Venise avant son mariage.
Dans des contextes sociaux différents, c’est la même solitude, les mêmes questionnements sur un bilan de vie.
J’ai été complètement prise par ce roman, arpentant les rues de Venise avec l’une ou l’autre, ou les deux à la fois, me reposant soit au Danieli soit dans la pension sordide.
Les deux femmes sont antipathiques et touchantes à la fois.
Très beaux portraits.
Par contre j’ai été un peu frustrée à la fin, j’aurais eu envie de continuer et de savoir comment s’étaient passés les trois derniers jours à Venise. Malheureusement, le roman s’arrête brusquement.
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