Sandra Baniere

Amoureuse de la vie, des plaisirs simples, Sandra Banière partage son temps entre l'enseignement des Lettres modernes et l'écriture. Elle s'adonne à ces activités toujours dans l'idée d'uvrer pour les autres et pour la défense de notre culture. En participant à un concours, Nos Lecteurs ont du talent, organisé par Place des éditeurs et la Fnac (2013), elle voit la publication de son premier écrit, un roman, Les Noces meurtries (Presses de la cité). Les thèmes de la famille, de la nature, de la place des femmes dans la société et du couple, sont au cur de son travail d'écriture.

Avis sur cet auteur (2)

Couverture du livre « Rien n'est terminé » de Sandra Baniere aux éditions Les Mots Qui Portent

FANBOOKING sur Rien n'est terminé de Sandra Baniere

Avec ce roman nous naviguons entre deux époques année 2020 et année 1950.
Destins croisés d'une grand-mère et de sa petite fille. Deux femmes, deux époques. La maternité voulue et non voulue.
Deux voix. Passé et présent se mélangent.
Un roman prenant amenant réflexions sur des évènements influant sur la vie des femmes et des sociétés. La réaction des hommes face à leur future paternité.
Tout une évolution psychologique au cours du livre révoltante, sentimentale et sociétale.
Avec un constat décisif nos décisions sont elles prises pour nous même ou pour le qu'en dira-t-on ?

Couverture du livre « Les noces meurtries » de Sandra Baniere aux éditions Presses De La Cite

Sophie Gauthier sur Les noces meurtries de Sandra Baniere

En 1979, la vie semble promettre des jours sereins à Hélène. Bertrand, son mari, n'est-il pas l'époux idéal ? Bon père, bon mari, sa jeune épouse lui fait confiance pour mener l'exploitation viticole comme leur famille. Mais un autre homme se révèle rapidement derrière cette façade lisse et aimable, et un enfer silencieux commence pour Hélène....
Sandra Banière raconte une lente noyade et le long chemin, plein d'embûches, qui mène à l'indépendance. C'est un roman qui met au premier plan la force d'une femme, sa patience et sa douleur pour sortir de l'anéantissemnt et pour accéder à un statut de personne libre. Ponctué par le point de vue de la fille d'Hélène, Gaby, le récit de cette libération est un hymne à la résistance des femmes meurtries. Un premier roman qui garde quelques maladresses mais qui contient le germe d'une écriture intéressante.