"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Je remercie les éditions Archipel de m'avoir fait découvrir le témoignage de la lutte contre le cancer du petit Yanis. Dans l'ouvrage 'On ne meurt pas à 5 ans', les voix de Yanis et de ses parents se font entendre.
Alors que Yanis n'a que 5 ans, la nouvelle tombe comme un couperet : il est atteint d'un neuroblastome, l'un des plus dangereux cancers de l'enfant. Ce témoignage retrace la lutte qui s'est alors entamée pour contrer le crabe sous plusieurs points de vue, celui de la mère, du père, de l'enfant et même des soignants. Cette variété de visions représente la richesse de ce livre, chacun ayant vécu les choses différemment. Il est d'ailleurs très intéressant de connaître l'impact d'un tel combat à 5 ans sur la vie d'adulte.
Ici, les pronostics ont été déjoués et ce témoignage est un message d'espoir pour toutes les familles passant par une telle épreuve. La lecture de cet ouvrage leur sera d'ailleurs des plus utile car de nombreuses informations et coordonnées d'associations pouvant rendre la vie plus douce dans de telles circonstances sont fournies. Enfin, l'importance primordiale de la solidarité de son entourage, notamment professionnel, est ici bien soulignée. Les parents du petit Yanis appartenant à la police ont ainsi eu tout le soutien de leur hiérarchie.
Seul petit bémol à cette lecture, je pense que ce livre est tout particulièrement destiné à des familles vivant ou ayant vécu une telle épreuve. Il aura, à mon avis, beaucoup plus
de mal à atteindre un public plus vaste.
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J'ai eu ce livre dans le cadre des Livres voyageurs.
J'ai moyennement aimé ce roman et pourtant j'aime les romans sur les relations filiales et portant sur la 2è Guerre mondiale..
Florence journaliste retrouve son père au seuil de sa vie et remonte à son enfance, assez difficile et avec des relations très ambiguës avec ses parents. elle découvre un lourd secret mais lequel? Comment vivre avec? Comment se réparer?
J'ai moyennement accroché, peut être est ce dû à l'écriture?
Un livre très bien écrit.
A réserver pour une période ou l'on est prêt à lire une histoire sombre ...
Au déces de sa mère, le personnage central se rapproche de son père en fin de vie.
C’est le titre, cette fois, "Je n’ai jamais eu de petite robe noire" qui m’a donné envie de découvrir le roman de Roselyne Madalénat.
Il narre l’histoire d’une femme, Florence, journaliste au parcours amoureux compliqué et en froid avec sa famille depuis très longtemps. Le décès de sa mère va la rapprocher de son père mais aussi ouvrir la boîte à secrets : un horrible secret de famille dont celui-ci possède seul les clés.
Dois-je l’avouer ? J’ai du mal à faire le tri des sentiments divers qui m’animent à l’issue de cette lecture. J’ai parcouru ce livre sans rechigner et sans déplaisir, entraînée par le désir d’en connaître l’issue. Et pourtant, il ne m’a pas véritablement emballée. Je l’ai trouvé touffu, confus. Les sauts continuels du coq à l’âne, d’un personnage à l’autre, du présent au passé le rendent lourd. Certes le suspens est bien mené, la découverte du secret bien orchestrée, mais il manque, de mon point de vue, une ligne directrice qui en aurait simplifié la lecture.
L’écriture est d’une grande simplicité, ce que j’apprécie généralement. Mais j’ai parfois eu l’impression de décrypter une confession enregistrée.
Et la petite robe noire dans tout ça ? Eh bien, il faut aller au bout de l’ouvrage pour comprendre !
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