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Pierre Bertrand

Pierre Bertrand
Biologiste et traducteur scientifique, Pierre Bertrand est cofondateur avec Jeremy Light de Trièves en Transition, première initiative de transition de France.

Avis sur cet auteur (8)

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    Couverture du livre « Cornebidouille contre Cornebidouille » de Pierre Bertrand et Magali Bonniol aux éditions Ecole Des Loisirs

    Jen sur Cornebidouille contre Cornebidouille de Pierre Bertrand - Magali Bonniol

    Cornebidouille antre du jeu de langue, de mots, de sonorités. Cornebidouille qui allie le frisson à l'affirmation de soi. Non Pierre ne mangera pas sa soupe et en prime il affronte avec brio et humour Cornebidouille la terrible sorcière qui ne fait plus si peur si on lui résiste. Des albums...
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    Cornebidouille antre du jeu de langue, de mots, de sonorités. Cornebidouille qui allie le frisson à l'affirmation de soi. Non Pierre ne mangera pas sa soupe et en prime il affronte avec brio et humour Cornebidouille la terrible sorcière qui ne fait plus si peur si on lui résiste. Des albums jeunesses qui plaisent autant à 7 ans qu'à 2. Très facile de choisir des voix et de les lire avec le ton pour ajouter à l'humour. Dans chaque opus de la série on retrouve la drôlerie, la bizarrerie et le même graphisme très vif (qui a quelque peu évolué d'ailleurs du tout premier au dernier). Pierre résiste et Cornebidouille s'entête.
    Le graphisme caractéristique ne me plait pas particulièrement mais il est coloré et repérable. On retrouve très vite les albums dans la bibliothèque.
    Le plus important est évidemment qu'ils plaisent à mes filles ! « Doudou câlin bébé » est devenu un mantra de la famille lorsqu'elles cherchent leurs doudous ! :)
    Deux petits moins : Un père dont l'autoritarisme est un peu cliché et cette insulte adressée dans plusieurs albums à Cornebidouille qui me crispent grandement « Tu as des gros nichons » Pourquoi avoir des seins imposants serait sujet à insulte ? Pourquoi alors que toutes les autres insultes sont solubles et peu déterminante celle-ci apparait si genré et attaque le physique de la femme particulièrement ? Pourquoi évoquer les seins de Cornebidouille alors que tout le reste survole le physique sans être particulièrement plausible et adaptable à un genre ? Pourquoi serait-il acceptable sans cesse que le corps des femmes soit sujet à commentaires ? Pourquoi nos corps sont cibles sans recul de ce que cela peut induire chez nos petites filles ? Autant « face de Merluchon » n'a pas grande signification et est drôle autant « tu as de gros nichons »….Mystère… Je comprends que la sonorité colle mais chaque fois que je le dis (et c'est tous les soirs en ce moment) cela m'écorche un peu la bouche !

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    Couverture du livre « La vengeance de Cornebidouille » de Magali Bonniol et Pierre Bertrand aux éditions Ecole Des Loisirs

    Jen sur La vengeance de Cornebidouille de Magali Bonniol - Pierre Bertrand

    Cornebidouille antre du jeu de langue, de mots, de sonorités. Cornebidouille qui allie le frisson à l'affirmation de soi. Non Pierre ne mangera pas sa soupe et en prime il affronte avec brio et humour Cornebidouille la terrible sorcière qui ne fait plus si peur si on lui résiste. Des albums...
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    Cornebidouille antre du jeu de langue, de mots, de sonorités. Cornebidouille qui allie le frisson à l'affirmation de soi. Non Pierre ne mangera pas sa soupe et en prime il affronte avec brio et humour Cornebidouille la terrible sorcière qui ne fait plus si peur si on lui résiste. Des albums jeunesses qui plaisent autant à 7 ans qu'à 2. Très facile de choisir des voix et de les lire avec le ton pour ajouter à l'humour. Dans chaque opus de la série on retrouve la drôlerie, la bizarrerie et le même graphisme très vif (qui a quelque peu évolué d'ailleurs du tout premier au dernier). Pierre résiste et Cornebidouille s'entête.
    Le graphisme caractéristique ne me plait pas particulièrement mais il est coloré et repérable. On retrouve très vite les albums dans la bibliothèque.
    Le plus important est évidemment qu'ils plaisent à mes filles ! « Doudou câlin bébé » est devenu un mantra de la famille lorsqu'elles cherchent leurs doudous ! :)
    Deux petits moins : Un père dont l'autoritarisme est un peu cliché et cette insulte adressée dans plusieurs albums à Cornebidouille qui me crispent grandement « Tu as des gros nichons » Pourquoi avoir des seins imposants serait sujet à insulte ? Pourquoi alors que toutes les autres insultes sont solubles et peu déterminante celle-ci apparait si genré et attaque le physique de la femme particulièrement ? Pourquoi évoquer les seins de Cornebidouille alors que tout le reste survole le physique sans être particulièrement plausible et adaptable à un genre ? Pourquoi serait-il acceptable sans cesse que le corps des femmes soit sujet à commentaires ? Pourquoi nos corps sont cibles sans recul de ce que cela peut induire chez nos petites filles ? Autant « face de Merluchon » n'a pas grande signification et est drôle autant « tu as de gros nichons »….Mystère… Je comprends que la sonorité colle mais chaque fois que je le dis (et c'est tous les soirs en ce moment) cela m'écorche un peu la bouche !

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    Couverture du livre « Gloups ! j'ai avalé Cornebidouille ! » de Magali Bonniol et Pierre Bertrand aux éditions Ecole Des Loisirs

    Jen sur Gloups ! j'ai avalé Cornebidouille ! de Magali Bonniol - Pierre Bertrand

    Cornebidouille antre du jeu de langue, de mots, de sonorités. Cornebidouille qui allie le frisson à l'affirmation de soi. Non Pierre ne mangera pas sa soupe et en prime il affronte avec brio et humour Cornebidouille la terrible sorcière qui ne fait plus si peur si on lui résiste. Des albums...
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    Cornebidouille antre du jeu de langue, de mots, de sonorités. Cornebidouille qui allie le frisson à l'affirmation de soi. Non Pierre ne mangera pas sa soupe et en prime il affronte avec brio et humour Cornebidouille la terrible sorcière qui ne fait plus si peur si on lui résiste. Des albums jeunesses qui plaisent autant à 7 ans qu'à 2. Très facile de choisir des voix et de les lire avec le ton pour ajouter à l'humour. Dans chaque opus de la série on retrouve la drôlerie, la bizarrerie et le même graphisme très vif (qui a quelque peu évolué d'ailleurs du tout premier au dernier). Pierre résiste et Cornebidouille s'entête.
    Le graphisme caractéristique ne me plait pas particulièrement mais il est coloré et repérable. On retrouve très vite les albums dans la bibliothèque.
    Le plus important est évidemment qu'ils plaisent à mes filles ! « Doudou câlin bébé » est devenu un mantra de la famille lorsqu'elles cherchent leurs doudous ! :)
    Deux petits moins : Un père dont l'autoritarisme est un peu cliché et cette insulte adressée dans plusieurs albums à Cornebidouille qui me crispent grandement « Tu as des gros nichons » Pourquoi avoir des seins imposants serait sujet à insulte ? Pourquoi alors que toutes les autres insultes sont solubles et peu déterminante celle-ci apparait si genré et attaque le physique de la femme particulièrement ? Pourquoi évoquer les seins de Cornebidouille alors que tout le reste survole le physique sans être particulièrement plausible et adaptable à un genre ? Pourquoi serait-il acceptable sans cesse que le corps des femmes soit sujet à commentaires ? Pourquoi nos corps sont cibles sans recul de ce que cela peut induire chez nos petites filles ? Autant « face de Merluchon » n'a pas grande signification et est drôle autant « tu as de gros nichons »….Mystère… Je comprends que la sonorité colle mais chaque fois que je le dis (et c'est tous les soirs en ce moment) cela m'écorche un peu la bouche !

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    Couverture du livre « Cornebidouille » de Pierre Bertrand et Magali Bonniol aux éditions Ecole Des Loisirs

    Jen sur Cornebidouille de Pierre Bertrand - Magali Bonniol

    Cornebidouille antre du jeu de langue, de mots, de sonorités. Cornebidouille qui allie le frisson à l'affirmation de soi. Non Pierre ne mangera pas sa soupe et en prime il affronte avec brio et humour Cornebidouille la terrible sorcière qui ne fait plus si peur si on lui résiste. Des albums...
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    Cornebidouille antre du jeu de langue, de mots, de sonorités. Cornebidouille qui allie le frisson à l'affirmation de soi. Non Pierre ne mangera pas sa soupe et en prime il affronte avec brio et humour Cornebidouille la terrible sorcière qui ne fait plus si peur si on lui résiste. Des albums jeunesses qui plaisent autant à 7 ans qu'à 2. Très facile de choisir des voix et de les lire avec le ton pour ajouter à l'humour. Dans chaque opus de la série on retrouve la drôlerie, la bizarrerie et le même graphisme très vif (qui a quelque peu évolué d'ailleurs du tout premier au dernier). Pierre résiste et Cornebidouille s'entête.
    Le graphisme caractéristique ne me plait pas particulièrement mais il est coloré et repérable. On retrouve très vite les albums dans la bibliothèque.
    Le plus important est évidemment qu'ils plaisent à mes filles ! « Doudou câlin bébé » est devenu un mantra de la famille lorsqu'elles cherchent leurs doudous ! :)
    Deux petits moins : Un père dont l'autoritarisme est un peu cliché et cette insulte adressée dans plusieurs albums à Cornebidouille qui me crispent grandement « Tu as des gros nichons » Pourquoi avoir des seins imposants serait sujet à insulte ? Pourquoi alors que toutes les autres insultes sont solubles et peu déterminante celle-ci apparait si genré et attaque le physique de la femme particulièrement ? Pourquoi évoquer les seins de Cornebidouille alors que tout le reste survole le physique sans être particulièrement plausible et adaptable à un genre ? Pourquoi serait-il acceptable sans cesse que le corps des femmes soit sujet à commentaires ? Pourquoi nos corps sont cibles sans recul de ce que cela peut induire chez nos petites filles ? Autant « face de Merluchon » n'a pas grande signification et est drôle autant « tu as de gros nichons »….Mystère… Je comprends que la sonorité colle mais chaque fois que je le dis (et c'est tous les soirs en ce moment) cela m'écorche un peu la bouche !