"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Wismerhill devient officiellement le jouet de desseins supérieurs. L’histoire reste un peu compliquée, mais donne la sensation de démêler petit à petit les fils du complot qui se trame pour ce petit monde. L’épisode est violent, avec quelques « pleine page » qui permet au dessinateur de s’exprimer mieux que d’habitude. On ressent aussi assez l’impact des wargames et jeux de rôles dans cet épisode que les auteurs pratiquaient avant ou pendant la conception de cet album. Un album qui rehausse un peu la saga mais qui ne permet pas encore de dire si ça vaut le coup ou non. Encore une fois, ce n’est pas parce qu’un éditeur finance l’édition que c’est plutôt bien et des exemples, vous en avez à la pelle. Donc, pour l’instant mon avis reste mitigé sur cette saga.
Dans ce quatrième opus, Wismerhill recrute par la force une armée, mais la Lune Noire semble mener la danse et joue comme elle jouerait aux échecs. L’épisode est un peu plus violent, laissant la place à plus de combats, mais il reste encore assez compliqué de comprendre qui fait quoi encore. C’est un peu brouillon. Heureusement que le graphisme tend à s’améliorer et il nous est proposé quelques belles pages. Un album encore un peu nébuleux mais qui laisse paraître un avenir plus radieux.
Wismerhill rencontre l’oracle. Son destin est tracé et il emmène derrière lui le groupe qui l’accompagne depuis le début. Mais le chemin est semé d’embûches. Alors que des complots se mettent en place dans les hautes sphères au niveau de nations entières, mais aussi sur un plan différent, petit à petit le récit se recentre sur Wismerhill et se dessine au fur et à mesure ce qui l’attendra dans les prochains volumes.
Le récit semble assez brouillon en soi, et il est parfois pas si simple de se repérer avec les nouveaux personnages qui apparaissent. Mais lentement, nous commençons à saisir. Il manque malgré tout de rebondissements pour avoir une lecture passionnante. Il semble que cet album soit toujours dans l’installation de la trame.
Graphiquement, c’est pas fantastique. Le dessin n’est pas fin, et les couleurs dominantes changent trop souvent pour appâter l’oeil. Je trouve l’album à ce niveau assez décevant.
Je reste assez mitigé sur cet album mais j’attends de lire la suite pour me laisser convaincre. On sent que le niveau peut largement grimper d’un cran facilement parce que tout est là pour le faire.
Une merveille à lire absolument pour les amoureux des fées. cette BD m'a fait découvrir Olivier Ledroit. Depuis j'ai acheté bon nombre de ces ouvrages. L'histoire est également magnifique, un mélange de mythe, conte, fantasy et stampuck.
Il n'y a pas encore de discussion sur cet auteur
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !