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Nicole Bordeleau

Nicole Bordeleau
Nicole Bordeleau forme des professionnels à la pratique du yoga et de la méditation. Elle est considérée comme une référence concernant la gestion du stress et l'art du mieux-être au Québec. Elle a la même aura que Fabrice Midal en France. Elle a fondé la entre Yogamonde au Québec (htt... Voir plus
Nicole Bordeleau forme des professionnels à la pratique du yoga et de la méditation. Elle est considérée comme une référence concernant la gestion du stress et l'art du mieux-être au Québec. Elle a la même aura que Fabrice Midal en France. Elle a fondé la entre Yogamonde au Québec (http://www.yogamonde.com).

Avis sur cet auteur (3)

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    Couverture du livre « S'aimer, malgre tout » de Nicole Bordeleau aux éditions Flammarion

    Maureen sur S'aimer, malgre tout de Nicole Bordeleau

    Une ode à l'amour malgré les obstacles de la vie...


    Nous faisons la connaissance d'édition, une quadragénaire, qui dirige une société de conseil
    auprès d'entreprises. Elle vit à Montréal, dans l'appartement familial. On ne peut pas
    dire qu'elle vit d'amour et d'eau fraîche, puisqu'elle...
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    Une ode à l'amour malgré les obstacles de la vie...


    Nous faisons la connaissance d'édition, une quadragénaire, qui dirige une société de conseil
    auprès d'entreprises. Elle vit à Montréal, dans l'appartement familial. On ne peut pas
    dire qu'elle vit d'amour et d'eau fraîche, puisqu'elle vit seule et surtout bois un ou deux
    verres de vodka tout les soirs. Tout les matins, elle a ce petit rituel qui lui montre que
    tout ne va pas bien dans sa vie. En effet, une douleur sourde qui lui monte du côté droit et
    irradie dans tout son corps.
    Au travail, elle doit composer avec un employé qui l'a mauvaise à son encontre et qui se
    permet de l'attaquer de front. De ce fait en rentrant le soir, parfois, ce n'est pas un ni
    deux verres qu'elle s'enfile mais presque une bouteille de vodka et ce jusqu'à ce qu'elle ne
    se souvienne de rien.
    Au détour de la visite médicale imposée pour le travail, son médecin traitant qui demande
    de faire des examens. A partir de ce moment plus rien ne va aller et elle se demande si elle
    va finir comme sa mère et finalement comme la plupart des membres de sa famille, à savoir
    malade mentale. Une plongée dans les carnets de son père lui permettra de faire peut-être la
    lumière sur tout ça....


    J'ai aimé ce roman malgré certains avis pas très élogieux. Je ne connaissais pas cette
    auteure et encore moins les romans dits de développement personnel.
    J'ai beaucoup aimé la plume de l'auteure qui m'a bercée du début à la fin, et on sens
    qu'il y'a beaucoup d'amour dans celle-ci. Les longueurs et les descriptions à rallonges
    viennent un peu ternir cette plume et c'est dommage, car ce n'était pas du tout nécessaire
    pour l'avancée du roman.
    Pour le contenu, je l'ai trouvé très touchant et cet ode à l'amour malgré tout à résonné
    en moi. J'ai trouvé Édith très touchante et je me suis attachée à elle a travers son histoire
    familiale. Celle-ci comporte des secrets de famille, des choix qui ne nous appartiennent pas
    mais qui font plaisir à l'être aimé, mais surtout beaucoup de non-dits que l'on garde pour
    soi pour ne pas blesser sa famille.
    Le roman est diviser en 5 parties, mais les plus intéressantes ont été les 2 partie
    centrales qui contiennent les carnets de son père et l'histoire de sa mère.
    A travers ces deux parents, nous sentons ce qu'est l'amour malgré les réactions assez
    violentes par moments, l'amour qui les unis malgré les moments de faiblesses.
    Ici nous avons aussi différentes façons de faire un deuil, chacun à sa manière et surtout
    par rapport à ce qui est arrivé pour en arrivé là.
    Les maladies mentales qui sont abordées ici font partie de notre quotidien, surtout celle de
    la dépression qui menace chacun d'entre nous au vu du mode de vie que l'on peut mener.
    Dans ce roman, beaucoup de citations font leur apparition et des phrases philosophiques
    nous amènent à réfléchir sur le sens de la vie que l'on veut se donner et nous montre qu'on
    peut faire des erreurs mais qu'il ne faut jamais regretter et surtout qu'il faut avancer
    avec ces choix.


    En bref, un voyage dans le passé qui permet de comprendre son histoire familiale et qui
    peut permettre de S'aimer malgré tout...

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    Couverture du livre « S'aimer, malgre tout » de Nicole Bordeleau aux éditions Flammarion

    danielle Cubertafon sur S'aimer, malgre tout de Nicole Bordeleau

    Il fait partie de mon 2eme choix, les histoires d amour , les souffrances ,decouvrir leurs vies différentes est les difficultés de s en sortir pas toujours facile

    Il fait partie de mon 2eme choix, les histoires d amour , les souffrances ,decouvrir leurs vies différentes est les difficultés de s en sortir pas toujours facile

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    Couverture du livre « S'aimer, malgre tout » de Nicole Bordeleau aux éditions Flammarion

    Ramettes sur S'aimer, malgre tout de Nicole Bordeleau

    C’est le premier roman de Nicole Bordeleau, je ne connaissais pas son travail d’écriture précédent. Je ne suis pas très adepte du développement personnel, de la méditation etc, mais je suis curieuse. Dès les premières lignes on est plongé dans la fiction.
    J’ai beaucoup aimé tout ce qui...
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    C’est le premier roman de Nicole Bordeleau, je ne connaissais pas son travail d’écriture précédent. Je ne suis pas très adepte du développement personnel, de la méditation etc, mais je suis curieuse. Dès les premières lignes on est plongé dans la fiction.
    J’ai beaucoup aimé tout ce qui touchait à la famille et aux interactions. On a l’impression de reconnaître en Edith des traits de caractère de femmes qui nous entourent, du coup on visualise bien certaines scènes.
    La place des rêves est très intéressante avec sa part de symbolisme, cela permet d’introduire des souvenirs et des réflexions.
    Le roman se divise en 5 parties de taille différente. La première rejoignant la fin. Ce que j’ai préféré c’est la partie centrale, celles des carnets. On plonge grâce à ces carnets dans un témoignage direct et intime dans la vie du père absent. Dans cette partie là il y a aussi un témoignage indirect de la partie intime de la mère. Dans ce qui est raconté on a l’origine des fêlures mais c’est aussi un témoignage d’un temps passé aux mœurs différentes. Tout le monde n’a pas la chance de connaître son histoire familiale avant sa naissance avec le ressenti de l’époque.
    Le mélange de confessions dans ce journal intime mêlé à un autre type d’écriture c’est intéressant aussi du point de vue littéraire en plus de l’aspect psychologique. Cela crée aussi une rupture temporelle, un regard tourner vers le passé, un passé où Edith n’est pas. Elle peut donc penser à d’autres soucis que les siens.
    De toutes ces histoires qui se répondent, s’entremêlent pour nous montrer les mécanismes de la transmission, ce que j’en retiens c’est qu’avec les bonnes rencontres on peut avancer et s’en sortir, encore faut-il être prêt à accueillir cette aide. On le verra notamment dans la première partie Edith est aveuglée et ne voit pas les mains tendues.
    Il y a dans ce roman deux thèmes que j’affectionne celui de la mémoire et celui de la famille, et évidemment celui de la mémoire familiale. La mémoire des murs est un peu développée avec l’appartement d’Edith. Elle semble trop liée à cet appartement, lorsqu’elle est prête en s’en libéré un événement va venir la retenir. Je trouve dans ce lien beaucoup de symboles.
    La thématique du deuil est aussi un sujet abordé parmi d’autres sujets assez lourds. Je ne vais pas vous les énumérer, je vous laisse les découvrir.