"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
La corruption est le plus grand fléau du « règne » de Mitterand, affirme Jean Montaldo, n’hésitant pas à parler de « système mafieux »
Il commence par le soi-disant suicide de François de Grossouvre en mai 1993, avec lequel il a eu de très nombreuses conversations.
Il évoque aussi les suicides suspects de René Lucet, en mars 1982 et de Pierre Bérégovoy en avril 1994.
L’essentiel du livre tient, « preuves » à l’appui, en l’évocation d’affaires sulfureuses durant les deux mandats de François Mitterand :
Trafic d’influence, fausses factures, comptabilités fictives, abus de biens sociaux, ingérence, caisses noires……. En particulier, il détaille les affaires du réseau URBA, de la CFDE, de l’OFFRES, de l’ORTA.
Affaires dont on a entendu parler, puis qu’on a étouffées et qui sont plus ou moins tombées dans l’oubli.
La lecture de toutes ces « magouilles » politico-financières m’a parue assez fastidieuse, moi qui ne m’y entends pas beaucoup plus en finances qu’en politique.
Pourtant, cela confirme bien la question de la confiance que l’on peut avoir dans nos dirigeants politiques, question matérialisée par ce livre
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