80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selon moi, c'est loin d'être la meilleure œuvre d'Éric-Emmanuel Schmitt. À travers l'histoire de Milarépa (véritable sage tibétain du XIIème siècle) racontée par Simon, qu'une femme mystérieuse identifie comme Svastika (l'oncle du sage tibétain), l'auteur propose une réflexion sur l'identité dans l'écriture, le questionnement des « moi » de l'écrivain, ainsi qu'une présentation du bouddhisme. Malheureusement, ce petit texte comporte beaucoup de répétitions superflues et manque de poésie à mon goût. Le motif du rêve, quant à lui, n'est qu'un prétexte déjà vu... J'ai néanmoins apprécié l'entretien de l'auteur avec un journaliste à la fin du livre intitulé « Ce que le bouddhisme nous apporte », où l'auteur explique les apports du bouddhisme dans sa vie et son écriture.
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