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Je suis rentrée immédiatement dans ce second tome qui débute en 1848, alors que John et Maura, deux jeunes scientifiques, sont froidement assassinés. Leur bébé, miraculeusement sauf, est recueilli par la princesse Iéléna Vatchenko qui est persuadée qu’il est la réincarnation d’un de ses jumeaux décédés.
J’ai adoré découvrir l’univers des boyards russes et des intrigues qui gravitent autour du tsar. Ce roman est d’une grande beauté mais également d’une tout aussi grande cruauté. Les péripéties et les drames qui jalonnent la vie des personnages sont éprouvants mais l’auteure laisse toujours une petite lueur d’espoir percer les ténèbres qui les entourent. Comme dans le premier tome, les protagonistes, qu’ils soient bons, mauvais ou entre les deux, sont complexes et tout en nuances de gris.
L’amour passionnel, maternel, amical jalonne cette histoire pleine de rebondissement, de complots, de trahisons et de scènes épiques au cœur des paysages enneigés de la Russie, aussi somptueux que dangereux.
A l’occasion de la sortie de La Princesse de la Taïga, j’ai pu découvrir la magnifique plume de @katemcalistair. Si chacun des tomes peut être lu indépendamment, il vaut mieux, selon moi, lire la trilogie dans l’ordre pour la savourer pleinement.
De l’Angleterre victorienne aux steppes glacées et sauvages de la Russie orientale, en passant par Saint-Pétersbourg, ce dernier tome conclut avec brio une saga fascinante. Le contraste entre les sociétés de la noblesse anglaise, les tribus des steppes et les intrigues gravitant autour du tsar et des puissants de l’Empire russe est vraiment intéressant, rendant ce roman particulièrement addictif. Le contexte historique est riche et bien documenté. J’ai particulièrement aimé découvrir les sociétés russes du XIXème siècle.
J’ai pris énormément de plaisir à retrouver les protagonistes des anciens tomes et à découvrir les nouveaux personnages. Complexes et nuancés, certains sont très attachants, d’autres sont détestables mais aucun ne laissent indifférents. Voir leur évolution tout au long des tomes a été un véritable plaisir.
Passion, destins croisés, manipulations, complots, trahisons, aventures et paysages majestueux, tous les ingrédients sont réunis pour passer un excellent moment, voyager et vibrer. Sans aucun temps mort, l’intrigue est aussi fluide que plaisante. L’écriture très visuelle de @katemcalistair donne vie aux décors et aux aventures tragiques des héros.
Pour conclure, l’auteure nous offre une épopée romanesque palpitante qui clôt une saga coup de cœur. Un véritable bijou !
J’attendais la sortie du nouveau roman de Kate McAlistair avec une grande impatience. Elle est l'autrice de la trilogie du Lotus Rose que j’ai adorée. J'avais déjà pu apprécier le talent de conteuse de l'autrice, sa façon d'emmener le lecteur dans une magnifique aventure, dépaysante à souhait. Dans cette première trilogie, elle avait emmené son lectorat en Inde, les multiples recherches qu'elle a fait ont donné un récit d'une belle précision dans les lieux, les personnages, les us et coutumes. Aussi quand j'ai su qu'elle allait sortir une nouvelle trilogie avec pour fond de décor la Russie et l'Asie, j’ai eu alors très hâte de la lire à nouveau. Et avant de vous parler de l’histoire en elle-même, je peux déjà vous dire en quelques mots que je me suis régalée. Et j'ai trouvé la couverture très réussie, elle donne très bien le ton.
Donc, dans ce premier opus, tout débute en Russie, en 1838. On fait la connaissance d'un jeune garçon, Morgan. Il n'a pas une adolescence facile, son père, un mercenaire, ivrogne, est violent avec sa femme et son fils. Morgan s'enfuit bien souvent de sa maison mais revient toujours pour défendre et protéger sa mère. Il s’occupe des chevaux, et c’est en donnant des soins dans l'eau à l'un d'eux qu'il va rencontrer une jeune fille Mongole, qui, elle aussi, se promène très tôt le matin à cheval et avec son aigle. Elle est énigmatique pour Morgan, elle le fascinera, elle vit avec un groupe de nomades. Lorsque ce groupe partira, il verra cette longue caravane se diriger vers le palais de sa ville. Morgan se cache très souvent dans les jardins de celui-ci et il reconnaîtra la jeune Mongole, Chali, dans cette caravane, et il comprendra alors que c’est elle la jeune princesse qui doit être mariée au fils de l'empereur. En même temps, dans la journée, il prend des cours avec un abbé qui lui présente une jeune fille, Maura, qui suivra les cours avec lui. Elle aussi a un père autoritaire, et elle trouvera en Morgan un protecteur. Malheureusement, il arrive un grave accident et Morgan est obligé de s'enfuir et de laisser tous ceux qu'il aime. On le retrouvera alors 10 ans plus tard, transformé..
Je n'en dirais pas plus. Je trouve déjà vous en avoir trop dit alors que l'on est encore au tout début du livre. Je ne vous dirais par contre pas ce qu'il se passe dix ans plus tard, je vous laisse le découvrir. Je vous conseille de ne pas trop lire la quatrième de couverture du livre qui, à mon avis, en dit beaucoup trop. Ce sera d'ailleurs mon seul bémol de toute ma chronique. Ce n’est pas très grave et ne m'a pas plus dérangée que cela, car une fois dans le roman, je n'ai plus jamais eu envie de lire la quatrième, et je me suis laissée porter par les mots et les aventures du jeune héros. Dès les premières pages, je me suis retrouvée plongée dans l'action et surtout transportée en d'autres lieux, dans une autre époque. J'ai découvert le Pendjab, une province d'Inde proche du Pakistan, les paysages, la steppe, la ville avec ses marchés, ses couleurs. Les caravanes avec les chevaux, les chameaux. Les costumes des seigneurs, les rites, les jeux parfois cruels avec une chèvre, enfin bref, tout ce qui fait la vie des ces gens là à cette époque là. Puis après, je suis partie en Russie, après avoir traversé les frontières de l'Himalaya. Autres décors, autres ambiances, celles d'un palais russe, avec tout ce qu'il peut y avoir comme fastes. La campagne russe, froide, déserte, les villes aussi. Tout un univers d'un autre siècle, avec les robes, les costumes.
J’ai suivi avec grand intérêt Morgan dans ses péripéties, dans ses drames. Je l'ai vu se transformer en un bel homme, avec du caractère, qui sait ce qu'il veut et ne veut pas. Et derrière cette force, il garde une très belle sensibilité et beaucoup d’humanité. Les épreuves de son enfance, multiples et traumatisantes, ont forgé son caractère. Je ne peux pas trop en dire, mais sa fuite du Pendjab, en traversant la chaîne himalayenne a été très éprouvante. (Il y a certaines scènes très marquantes que j'aurais beaucoup de mal à oublier). L'homme qu'il est devenu peut paraître dur, mais ce n'est qu'une façade. L'avoir connu enfant et adolescent m'a permis de mieux comprendre l’adulte qu'il est devenu. Je savais qu'en grattant un peu la carapace, j'allais trouver un grand cœur derrière et une profonde justice et humanité.
Les personnages féminins ne sont pas en reste. Comme pour Morgan, on rencontre Chali et Maura toutes jeunes, elle sont à peine sorties de l’enfance. Et comme souvent, à cette époque, les filles étaient mariées très tôt et ne choisissaient pas leurs maris. Maura ne vivra pas cette situation, mais Chali, étant une jeune princesse, si. On en apprendra plus sur Maura, ce sera celle que l'on suivra le plus. La petite fille qu'elle a été m’a touchée, j'avais moi aussi envie de la protéger, de l'aider à se dépêtrer de ce père autoritaire et méchant. La jeune femme qu'elle deviendra essaiera de se montrer vive et enjouée, mais elle a elle aussi ses fragilités et est pleine de doutes. Chali est un personnage plus mystérieux, que l'on apprend à connaître petit à petit, qui n'a pas non plus été épargnée. Alors vous vous direz, un personnage masculin, deux personnages féminins, il doit bien y avoir de la romance dans l'air….eh bien, elle ne sera pas forcément celle que vous penserez de premier abord. Pareil, je ne vais pas en dire plus. Mais elle est très subtile cette romance, et c’est ça que j'aime aussi chez Kate McAlistair. Pas de scènes torrides, tout est en nuance, suggéré, et ce n'est vraiment pas ce qui prime dans ses romans, et c’est ce que j'aime avant tout. Il y a des sentiments, on ressent les attachements, les envies, mais il n'y a pas de sexe, et comme j’apprécie !
J'ai adoré cette lecture, c’est un coup de cœur, vraiment. Je l'ai dégustée sur plusieurs jours. Les événements de ma vie personnelle ont fait que je n'avais pas toujours beaucoup de temps pour lire dans ma journée, mais quand je pouvais le faire, je retrouvais les personnages et ce livre avec beaucoup de plaisir, comme un rendez-vous détente et surtout dépaysement. Cela me permettait de me changer les idées, d'oublier mon quotidien un peu pesant, et de m'évader. J'ai aussi appris plein de choses sur les pays, leurs coutumes, leurs religions, leurs situations géographiques, et j'adore quand ma lecture a ce double rôle de m'instruire et de me divertir. Je suis admirative devant les précisions apportées par l'autrice, elle a dû faire un travail considérable en amont pour faire toutes ses recherches et recréer un monde tellement réaliste. Tout son travail se ressent, par les précisions qu'elle amène dans les moindres détails, sans amener de lourdeurs dans la lecture. Tout est captivant.
J’ai pu une nouvelle fois apprécier la plume de Kate McAlistair, toujours aussi fluide et agréable à lire. Elle a choisi une narration à la troisième personne qui colle parfaitement à l'histoire. Cela permet de garder une petite distance avec les événements et avec les sentiments qui n'est pas négligeable quand ceux-ci sont très difficiles à vivre. Cela m'a donné un rôle de spectatrice, je regardais évoluer les personnages, je voyais les décors, comme si j’étais avec eux. J'allais de mon côté chercher sur le net les images des lieux traversés, et ils étaient tout à fait conformes aux descriptions de l'autrice. J’étais comme dans une salle de cinéma, et en même temps projeté dans les scènes. D'ailleurs, je verrais bien ce livre au cinéma, 1avec de beaux acteurs charismatiques…
Je pense que vous l'aurez compris en lisant cette longue chronique, j'ai adoré ma lecture. Je suis désolée d'avoir été trop bavarde, je pourrais encore vous parler de cette histoire, mais ce serait trop en dévoiler. En tout cas, une chose est sûre, je ne vais pas oublier de sitôt ce livre, et j'ai déjà hâte de lire la suite, qui paraîtra l’année prochaine. Quand je pense à ça, je me dis que c’est vraiment loin…je me suis tellement plu dans ce livre que j'ai eu un mal fou à le refermer. Et surtout je n'ai pas réussi à me plonger dans un autre livre, tellement j’étais encore avec Morgan, Maura, Chali, Aleksandr et John…c’est terrible cette mini-dépression post lecture. Écrire cette chronique m'a permise de retrouver cet univers et ça fait un bien fou…je m'en remettrais, ce n'est pas grave, c’est juste pour vous expliquer l’intensité de cette lecture…
Je ne peux bien sur que vous conseiller de vous aussi plonger dans cette formidable aventure qu'est Le palais des mille vents. Je suis sure que vous passerez un très bon moment, surtout si vous aimez le dépaysement, les beaux décors, les personnages forts et attachants. Partez vous aussi pour la Russie et l'Asie, laissez vous porter sur un traîneau dans la neige ou sur un chameau dans le désert….et venez me parler de votre expérience de lecture, ce sera un plaisir pour moi d’échanger.
Je viens de faire un formidable voyage en Inde grâce à ce roman de Kate McAlistair que je découvre en même temps. Et je suis ravie de cette découverte. J'ai toujours eu un faible pour ce pays, j'aime ses couleurs, ses odeurs, ses rites, ses multiples divinités. Je suis bien entendu consciente aussi de leurs conditions de vie souvent très dures, de leurs pauvretés, mais j'aime tellement leurs visages avec un beau sourire bien souvent greffé dessus. J'ai fait, grâce à ce roman, une immersion totale dans ce pays.
Tout commence avec le départ d'Angleterre en bateau en destination de Calcutta. On y fait la connaissance de Jezebel, elle est toute jeune, 16 ans, est malheureusement orpheline. Elle fait partie de l'aristocratie anglaise, son tuteur, Michael Deckard, vit en Inde où il décide de la faire venir car il l'a promise en mariage à un baron allemand, Otto von Rosenheim. Ce mariage devrait amener des fonds nécessaires à Michael Deckard pour financer ses recherches archéologiques en Inde au sujet d'une cité disparue. On est au début du vingtième siècle, en 1918, et à cette époque, les jeunes femmes étaient encore mariées pour des arrangements financiers et on ne leur demandait surtout pas leur avis.
Pendant son voyage en bateau, elle va rencontrer un jeune homme américain, Jan Lukas qui part lui aussi en Inde avec son ami, tous deux sont des aventuriers. Jezebel va vite tomber sous son charme, et ceci sera réciproque. Ils vont passer leur temps à se chercher mutuellement. Jezebel se liera aussi d’amitié avec une aristocrate russe, la duchesse Olga Obolenski, qui va l'aider sur le bateau, mais aussi en Inde.
Une fois arrivée dans ce pays, Jezebel va rencontrer son futur époux et elle va se rendre compte que celui-ci est violent, un rustre, il trafique de l'opium avec ses plantations. Elle se rend compte qu’un mariage avec cet homme est pour elle impossible. Surtout qu'entre deux elle fait la connaissance d'un jeune Indou d'une grande gentillesse et sensibilité. Le cœur de Jezebel est divisé entre Jan et Charu, elle les aime tous deux, peut-être différemment, mais elle s'en rendra compte assez tard. Jezebel va vivre de nombreuses aventures, avoir beaucoup de désillusions, vivre des drames, elle a cette force en elle qui fait qu'elle se relève à chaque fois.
Suivre cette jeune fille a été très enrichissant. Je sais en commençant ce roman qu'il va s'agir d'une saga puisque c’est une trilogie, je me suis dit que je verrai en lisant le premier tome si je continue, et je peux vous dire que je vais vite lire le second tome.
J'ai beaucoup aimé Jezebel, je me suis très vite attachée à elle. Elle est toute jeune, je me sentais un peu comme une mère pour elle, et j'avais très envie de l'aider ou de la réconforter. J’avais parfois envie de la réprimander lorsqu'elle prenait des décisions un peu loufoques où je voyais qu'elle allait se mettre dans le pétrin. Elle peut sembler parfois naïve, mais il ne faut pas oublier qu'elle n'a que 16 ans, qu'on est au début des années 20, qu'elle n'a plus de parents et donc plus personne pour l'aider, et qu'elle va changer de pays, de culture. Quand on réalise tout ça, on se dit plutôt qu'elle est bien courageuse. On voit ça, nous, avec notre regard de femme moderne, avec un siècle supplémentaire qui a vu la libération et beaucoup de changements dans la vie des femmes. Il ne faut pas oublier et toujours remettre dans le contexte des années et social.
Jezebel est une jeune fille que l'on va voir grandir et se transformer en femme, j'ai vraiment eu envie qu'elle s'en sorte. Il va lui arriver plein de péripéties et d’aventures, elle n'est pas au bout de ses peines. L'homme à qui elle est promise est un être odieux, que j'ai tout de suite détesté, lui n'a aucune circonstance atténuante. C’est le seul personnage que je n'ai pas aimé. Et je pense qu'il a fait cet effet chez beaucoup de lectrices. Par contre, j'ai beaucoup aimé les deux autres personnages masculins, différents dans leur origines, mais tous deux très sensibles et pleins de charme.
L'attachement à Jezebel se fait dès les premières pages et ce malgré une narration à la troisième personne qui n'est pas celle que je préfère habituellement, mais j’ai toutefois ce choix très judicieux car il m'a permis aussi de garder une certaine distance avec les émotions qui sont parfois très fortes. Je me suis sentie comme un personnage assistant Jezebel dans sa vie de tous les jours. J'ai vraiment eu l'impression que ces personnages existaient réellement, je les voyais évoluer devant mes yeux, ceci grâce au très bon style de Kate McAlistair. On alterne entre des moments remuants et des plus calmes, des phases d'action et de descriptions. Celles-ci sont nécessaires et je n'ai pas trouvé qu'elles amenaient de longueurs dans le récit. C’est important pour ressentir l'ambiance de l'Inde, pour montrer ses couleurs, ses odeurs, j'ai trouvé que l’autrice le faisait avec beaucoup de délicatesse. Moi en tout cas, j'ai adoré et j'ai trouvé que l'autrice avait une façon de décrire très visuelle, et je verrais très bien cette saga adaptée au grand écran.
En plus de tout cela, l'autrice a également très bien su mettre son récit dans son contexte historique. C’est une période que j'aime beaucoup, c’est le début des révoltes des Indous pour leur indépendance face au colonisateur anglais. On commence à entendre parler de Gandhi. C’est un personnage que j'admire, j’ai étudié ses actions pendant mes années de lycée, j'ai lu plusieurs biographies de lui, et j’ai fortement apprécié de le retrouver ici.
Je ne peux d'ailleurs que féliciter Kate McAlistair pour sa précision et sa grande rigueur dans les faits, elle a dû effectuer un travail de recherches en amont considérable. Elle en parle d'ailleurs dans ses remerciements, elle a pu avoir accès à la bibliothèque de l’ambassade de l'Inde à Paris, ses grands-parents ont vécu en Orient, elle a grandi avec leurs récits de voyage, avec les photos qu'ils ont ramenées, je pense qu'elle était prédestinée pour écrire un beau roman avec ce pays en toile de fond.
Je pense que vous l'aurez compris avec la taille de cette chronique, mais j'ai vraiment adoré ma lecture, je pense qu’on peut parler de coup de cœur. Je n'ai pas vu passer les 850 pages, je les ai lues dans le cadre d'un challenge où on lisait quelques chapitres par jour, j'avais hâte d’être le jour suivant pour lire les prochains chapitres. L’histoire est très immersive, et ce dès le début. J'ai eu d'ailleurs beaucoup de mal à quitter tout ce petit monde et cette ambiance. Heureusement, j'ai le second tome dans ma bibliothèque, je vais très vite pouvoir rejoindre Jezebel et voir ce qu’il va lui arriver ensuite. La fin est très jolie et pleine d'espoir, mais j’ai peur qu’il y ait à nouveau plein d’embûches sur son chemin dans la suite. Car je ne vous l'ai pas encore dit, mais l'autrice ne ménage pas ses lecteurs, elle fait souffrir ses personnages, les fait disparaître, à un certain moment, j'ai été très surprise et triste, je crois que j'ai râlé après elle ! C’est une lecture très vivante.
Si vous aimez être dépaysés dans vos lectures, que vous aimez voyager, que vous aimez être emportés dans un récit romanesque avec des personnages forts, alors n’hésitez pas à lire et découvrir ce début de saga. Je me suis régalée et je vous le recommande chaudement.
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