"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Idem même ressenti que le lecteur précédent …
Trop de mots dont je ne connais pas le sens ou n’arrive pas à trouver le sens .. cela devient trop difficile à lire …
il a fallu OUF que la mort suspecte de Dîna m’incite à poursuivre la lecture mais sans grand plaisir …
l est indiqué sur la 4ème de couverture "L'auteur expérimente une littérature radicale, marquée par un style oral".
Sur le principe, cela me va si cela sert le récit mais là j'ai abandonné au troisième chapitre. Ce n'est pas tant la vulgarité, réel, des propos mais l'incapacité à rentrer dans l'intrigue quand il faut déchiffrer tous les trois mots.
C'est presque trop voire une sorte de snobisme à se comprendre entre initié.
Ce n'est que mon avis mais cela ne m'a pas incité à vouloir suivre les personnages et l'intrigue annoncée.
Un texte très enlève, très rythmé, qui plonge dans l'univers de la drogue et son addiction. Une vraie qualité littéraire, sur le mode caméra au poing, pour ce livre qui se veut au plus proche de la réalité. Une sorte d'esthétique noire de la drogue, de la nuit, de cette liberté perdue qu'on ne trouve plus aujourd'hui qu'au travers d'une cam bon marché. Bon bouquin.
Samedi soir, couvre-feu, canapé, plaid et feu de cheminée ... Autant vous dire que cette lecture m’a sortie de ma zone de confort !
En effet, les soirées de Zede, journaliste et narrateur de ce roman riment plutôt avec alcool, drogues et interdits. Familier du milieu underground parisien, il en a fait sa spécialité. Souci d’authenticité pour ses papiers, Zede se contente rarement d’observer ... Quand au détour d’une interview, on lui propose de tester de nouvelles substances utilisées pour décupler le plaisir, cette curiosité malsaine le pousse à dire oui. Ce soir-là, il ne dira pas juste oui à un nouveau sujet sulfureux ... Il dira oui au Chemsex, pour le meilleur (plaisir), mais surtout pour le pire. Commence alors la descente aux enfers que rien ne saurait arrêter, ni sa femme, enceinte de leur deuxième enfant, ni les potes, ni ses parents.
J’ai dévoré ce roman en apnée. Les mots sont crus, les scènes tout autant. J’ai trépigné de rage en voyant Zede s’enfoncer, j’ai rêvé le secouer pour qu’il se ressaisisse. Ce roman est une claque, un mal nécessaire et je ne peux que vous le conseiller.
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