"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Voici ma première déception de l’année. Ce qui aurait pu être un thriller haletant ou un roman noir prenant, est au final une histoire un peu bancal avec des personnages pour lesquels il est difficile d’avoir de la compassion. Si l’intrigue en soi est intéressante, j’ai trouvé que cela partait dans tous les sens et qu’au final beaucoup de questions restaient et restent encore en suspens.
Difficile de dire que l’on a pas aimé un livre. J’essaye au maximum de tirer du positif dans tous les livres que je lis. Mais ici c’est compliqué… parce que j’ai eu l’impression d’être dans un espèce de nanard où les personnages misent en scène sont plus antipathiques les uns que les autres et où je passe complètement à côté de l’intrigue. [...]
Ainsi l’histoire se compose en deux parties : avant la mort de Victor Senga et l’après. Si l’auteur prend le temps de poser sa première partie, j’ai trouvé que la deuxième était assez vite expédiée. Et pourtant niveau répartition on est sur du quasi 50/50. Pourquoi ce ressenti alors ? Car si l’on reste sur les mêmes points de vue qu’au début, vient s’ajouter celui du flic en charge de l’enquête et qui s’ennuie bien profond dans sa bourgade.
Ce nouveau point de vue redonne un rythme à l’histoire, et heureusement, mais il manque de détails, d’approfondissement. Moi qui aime quand c’est concis et précis, j’avoue que pour le coup je me suis sentie frustrée par le manque d’informations. Tout va beaucoup trop vite. Là où l’auteur peut parfois trop s’appesantir notamment sur le côté quelque peu graveleux des protagonistes, il va parfois trop vite sur des éléments qui entraînent des questions sans réponses. Ou alors il faut lire entre les lignes, chose que je n’ai pas su faire.
[...]
En bref,
Ca n’a pas fonctionné avec La maison des pendus et moi. J’ai trouvé l’intrigue bancal, pas forcément intéressante de par la manière dont c’est amené. Des personnages insipides, exaspérants et d’autres pas assez exploités. Là où cela aurait pu être un très bon roman noir de par les thèmes évoqués, je n’ai ressenti que lassitude et exaspération. Evidemment je vous laisse vous faire votre propre avis, si l’envie vous dit.
Roméo et Juliette sont voisins. Leur enfance est heureuse et douce. Jusqu'au jour où la mère de Roméo disparaît. Jusqu'au moment où son père se charge de l'éduquer à la dure et se rapproche d'un groupuscule néonazi. Roméo se retrouve alors sur une branche pourrie, et entame peu à peu une terrible descente aux Enfers.
Jean-Paul Nozière aborde un sujet dérangeant. C'est une histoire de pur amour entre deux adolescents, entourés de la haine obsessionnelle d'une partie de leur entourage. Haine qui va prendre le dessus sur l'un des deux, malgré l'amour et la douceur de la seconde et de sa famille. Là où l'auteur est habile, c'est que le garçon en reste tout de même attachant, gardant avec lui une certaine innocence. Pourtant les faits sont implacables : vol, destruction, violences physiques. Mais, comme l'histoire est racontée à rebours, alternant les récits des deux héros de leurs propres histoires, on évite la dérive manichéenne.
En bref, un récit qui délivre un fort message aux adolescents : ne soyez pas des témoins passifs de dérives inacceptables, réagissez.
Littérature jeunesse agréable à lire, une jolie mais triste histoire.
Une histoire qui peut amener débat avec les ados sur la loi du talion : "oeil pour oeil, dent pour dent" et ses conséquences mais aussi sur les erreurs faites par les générations précédentes, quant à savoir si les suivantes doivent en payer le prix.
Magnifique histoire, hyper prenante, livre lu en 2 heures...tellement l'intrigue est passionnante .. Des aller retour entre la vie actuelle et les événements passés très bien dosés .... À lire
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