80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Une simple prise de sang, et la vie de toute la famille bascule. Dans « Papa Le combat pour la vie », nous suivons le fils qui nous entraine dans les coulisses d’une lutte du père contre une maladie dont on n’ose pas prononcer le nom. Les allers-retours vers l’hôpital briseront ce père qui utilise les pauvres moyens dont il dispose pour vaincre. Son point fort ? Sa propre imagination qui l’équipe d’une armure de chevalier pour faire rendre grâce à ce qu’il appelle, son « Dragon ». Cette imagination hors de contrôle nous conduit souvent des larmes au rire.
La combat de papa contre cet ennemi intérieur va bouleverser à jamais sa perception de la vie, mais aussi celle de sa famille, et la nôtre.
Le 15 août 1945, la voix de l’empereur Hirohito s’élève de tous les postes de radio du Japon, pour annoncer la fin de la Seconde Guerre mondiale. Meurtri, ruiné, l’empire du soleil levant doit en plus faire face à une crise démographique sans précédent ; le pays a perdu ses colonies et 8 millions de Japonais reviennent sur l’archipel. La faim tenaille les habitants, et dans la rue, les files pour obtenir un bol de soupe sont interminables.
C’est dans ce climat morose qu’une idée naîtra dans un esprit audacieux. Ando Momofoku est un entrepreneur touche à tout : textile, aviation, charbon,
école. En 1951, il se lance dans le marché des ramens, avec un principe inédit à l’époque : proposer aux consommateurs des nouilles déshydratées, prêtes à
consommer en trois minutes. S’ensuivra un succès commercial retentissant, et la constitution d’une des plus grandes entreprises alimentaires mondiales : Nissin Food.
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