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Ayant lu le tome 1 de « le Pensionnat de Mlle Géraldine, tome 1 : Etiquette & espionnage» de l'Américaine, archéologue et auteure de science-fiction, Gail Carriger (Tola Borregaard), j'ai eu la surprise de pas être déçue car j'ai plutôt d'autres genres de lectures. Mais il ne faut pas se limiter à ses thèmes préférés et j'ai suivi Sophronia (l'héroïne de 14 ans). Une histoire qui a lieu au début du XIXème siècle.
Elle est un vrai souci pour sa mère, car, au lieu de bien travailler à l'école, la Miss préfère s'amuser. Désespérée, sa mère la fait entrer au Pensionnat de Mlle Géraldine : « Pour le Perfectionnement des Jeunes Dames de Qualité ».
Sophronia se rend vite compte que dans ce Pensionnat, elle va connaître bien des surprises et tant qu'à faire, des passionnantes ou des surprenantes ?
Je ne connaissais pas cette auteure et je me suis plongée dans ce récit. Sophronia fait preuve d'une grande personnalité, elle est curieuse, courageuse et assez mature, tout en restant une adolescente.
On apprend à la découvrir, évoluer, elle se fait des amies…
D'autres personnages sont présents eux aussi, parfois étonnants, avec leurs propres personnalités et de milieux sociaux divers.
On est pressé d'en savoir plus sur certains et le "pourquoi" de telles personnalités : Dimity : très peureuse ; Monique : détestable ; Geneviève : très inventive ; Sidheag : bagarreuse… Savon.. Déjà de drôles de noms. Les professeurs également sont mystérieux. Bizarre ce Pensionnat.
Dans cet ouvrage, l'univers semble crédible et l'idée de faire une école d'espionnage qui en fait, est une école « volante » comme un dirigeable, tout à fait, est originale.
On y trouve même du loup-garou et du vampire… oh la la !
Le style oscille entre « steampunk » et « bit-lit ». On trouve des créatures surnaturelles.
Le style de Gail Carriger est très simple, plein d'humour.
On trouve des rivalités, of course. Jamais de temps mort et la lecture nous tient en haleine jusqu'à la fin.
Eh bien, ma foi, je ne me suis pas du tout ennuyée avec cette histoire et j'ai ainsi découvert Gail Carriger.
Comme il s'agit du tome 1, peut-être que je me procurerai le tome 2 ?
Je remercie NetGalley et Le livre de poche pour l’envoi de ce roman! J’avais le 1er tome dans ma PAL, donc une bonne occasion de le lire et d’en découvrir la suite dans la foulée!
Quand on donne son ressenti de lecture sur une série, on n’échappe pas à un certain plagiat de soi-même, d’un tome sur l’autre, car même si une évolution est souhaitée et attendue, le fond ou la forme reste sensiblement semblable!
Gail Carriger a le chic de nous offrir des petits bijoux de légèreté bitlit – steampunk à la mode victorienne, que ce soit avec Le protocole de la crème anglaise, Le protectorat de l’ombrelle ou Le pensionnat de Melle Géraldine.
Quand l’ambiance aristocratique alliée à une note « so british » mêlée d’insolence est rafraîchissante au possible, et qu’entre badinerie, frivolité, froufrous et dentelles, étiquette et convenances, l’humour se glisse entre toutes les pages, c’est l’assurance d’une lecture sympa!
Nous avions découvert dans le 1er tome, Rue, la fille d’Alexia, tout juste majeure, encore gâtée et insouciante, fonçant vers la liberté avec naïveté, aux côtés de ses amis Primerose, Percy, Quesnel. Un franc cafouillage gai et léger.
Cette fois-ci, Rue va devoir grandir un peu!
Même si elle se préoccupe de son éducation sexuelle aux côtés d’un Quesnel plus séducteur que jamais, elle doit affronter une situation délicate: le mâle alpha de sa meute devient fou.
C’est normal, c’est une malédiction qui touche tous les alphas.
Mais quand elle touche votre papounet, faut trouver une solution!
Et voici notre joyeuse troupe en route vers l’Égypte et une autre malédiction venue du fin fond des pyramides censée être le remède tant recherché.
Mais la Coccinelle à la crème, son dirigeable, fait l’objet d’attaques.
Qui est visé?
Comment s’en sortir?
Ce tome est donc marqué par une certaine maturité qui s’infiltre peu à peu chez nos jeunes protagonistes. Affranchis de la protection parentale ou de celle de la Reine Victoria, ils vont devoir oublier un peu leurs tasses de thé, leurs grandes robes et foulards de soie et leurs bavardages pour tâter un peu de l’arbalète, éponger le sang, se défendre et attaquer!
Des blessures au corps mais aussi à l’âme.
Comment trouver sa place quand Rue est unique en son genre et qu’elle doute même de son humanité?
Quand le monde est dangereux et que l’immortalité de certains est somme toute très fragile?
Ce voyage nous entraîne en Égypte et aux sources du Nil, dans la quête de métamorphes demeurés dans l’ombre, sur fond de mythologie et de traque par d’obscurs poursuivants.
Le voyage par les airs est superbe à l’époque où la Nubie existait encore, la Nubie ou le Royaume de Kouch, pour les fans d’égyptologie.
C’est un passage de relais davantage marqué dans ce tome, entre la génération précédente du protectorat de l’ombrelle et celle des enfants. Un petit pincement au coeur, bien évidemment, de laisser Maccon, Alexia, Dama et les autres un peu en arrière mais je pense que nous aurons l’occasion de les revoir de temps à autre!
L’intrigue reste nébuleuse quand plusieurs pistes sont ouvertes. Est-ce la cuve d’incubation (incubation, vraiment?) de Quesnel qui attise les convoitises? Est-ce la révélation de l’existence de nouveaux garous exposée par Percy qui réveille les chasseurs? Ou tout à fait autre chose?
De nouveau, le lecteur ne s’ennuie pas avec ce volet! Les relations entre les personnages sont marquées par un esprit d’équipe de plus en plus soudé, que ce soit entre l’équipage, les nouveaux venus ou Madame capitaine! Des personnalités s’affirment, des noms d’oiseaux s’envolent et des sentiments inavoués montrent le bout de leur nez!
Un savant mélange d’humour et de frivolité assombri par la vie d’adulte en apprentissage approfondit la trame de cette nouvelle série. L’ambiance steampunk est plaisante et reste très visuelle! Tout transpire l’énergie et le dynamisme!
Entre scènes cocasses, combats et aventures, une bonne dose de fantaisie et de plaisir pour cette lecture récréative!
Curieuse de voir lire la suite quand une page est résolument tournée avec Imprudence… les choses sérieuses vont pouvoir commencer, je pense!
http://liliandtheworldofbooks.blogspot.com/2017/02/le-protocole-de-la-creme-anglaise-tome.html
J'ai aimé comme j'ai eu un peu de mal avec cette histoire. Commençons par ce que j'ai aimé, j'ai apprécié l'univers et surtout l'imagination débordante de l'auteure. Elle nous embarque dans un monde vraiment intéressant et intriguant à la fois. Vous savez que j'aime les histoires qui concernent les vampires et j'ai beaucoup apprécié celui-ci.
De plus, grâce à la plume fluide, légère et détaillée de l'auteure, on ne peut que passer un bon moment.
Par contre, j'ai eu un peu de mal à me mettre dans le bain dès le début, heureusement que le rythme arrive assez rapidement pour en connaître la fin.
J'ai également eu du mal avec les personnages, je n'ai pas su m'attacher à Prudence et Primrose (même si j'adore leurs prénoms). Je n'ai pas accroché avec leur trait de caractère.
Pour conclure, même si mon avis est mitigé, j'ai malgré tout passé un bon moment avec son univers et j'ai quand même envie de découvrir le tome suivant afin de voir si je changerai d'avis sur les personnages et surtout connaître la suite de cette drôle d'aventure.
7/10
Ah que c'est bon de retrouver cette ambiance steampunk et les personnages de Gail Carriger... quelques 20 ans plus tard.
Cette fois-ci après les aventures d'Alexia Taraboti suivons-nous celles de sa fille Prudence Maccon Akeldama.
Elle a beau avoir été adoptée par Lord Akeldama, Rue, tout comme sa mère avant elle ne se soucie pas toujours des convenances. Surtout qu'avec le pouvoir de paranaturelle qui la décrit, elle s'amuse comme une petite folle en société.
Mais pour une fois elle a un peu abusé alors il lui est conseillé sous couvert d'une aventure autour du monde et de thé de prendre de la hauteur et de s'éloigner.
C'est donc à la barre de son tout nouveau dirigeable, la coccinelle à la crème (si vous vous souvenez du nom de celui de Lord Akeldama cela ne vous surprendra guère) et en compagnie de sa très chère Primrose (la fille d'Ivy) qu'elle part pour l'Inde.
Mais la compagnie partante ne s'arrête pas là et l'adjonction du cher frère jumeau de Prim, Percy ainsi que du charmant et impénitent séducteur Quesnel Lefoux qui va donner toute sa saveur à ce voyage.
Gail Carriger a su nous replonger avec bonheur dans l'ambiance de ses deux autres séries en y incluant de "nouveaux" personnages que nous allons suivre là encore avec un brin d'excitation et de surprise.
J'ai encore une fois adoré les retrouver tous, de façon plus ou moins discrète et surtout suivre les aventures de la digne fille d'Alexia Tarabotti pour ce qui est de la verve, du courage et de cette façon bien à elle de creuser les sujets qui la fascine. la proposition faite à Quesnel en est un exemple absolument divin et j'ai une hâte quasi inextinguible de lire la suite.
Encore un coup de cœur merci Gail Carriger
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