Un des tous premiers livres d'Emmanuel Robles que j'ai lu et il m'a laissé un beau souvenir! Un style d'écriture concis, écrit à la première personne et relatant un pan de l'histoire d'Algérie (et de la France) avec les personnages de Smail et Almaro.
C'est dur mais c'est la réalité. La violence à travers l'homme qu'ellesoitphysiqueouverbale. Là, il s'agit d'une guerre. Les années passent, les Hommes changent mais la bêtise humaine se transmet sans difficulté.
J'ai été littéralement emportée par cette pièce de théâtre alors que je suis peu friande du genre.
La guerre civile bat son plein au Venezuela en juillet 1812.
Bolivar a réussi à s'enfuir. Montserrat sait où il se cache ; 6 otages innocents seront exécutés s'il ne le livre pas.
Voici le cas de conscience au coeur de cette pièce.
Les personnages sont attachants par leurs failles ou leur courage. Le clergé, complice des atrocités, n'est pas ménagé.
Tout y est : les dialogues, le suspense, la dramaturgie. On croit même entendre le tambour d'abord en sourdine puis de plus en plus puissant.
J'ai trouvé l'écriture résolument moderne et d'actualité.
J'ai retenu mon souffle tout le long de ma lecture.
A lire même si vous n'êtes pas adepte de théâtre. Vous ne serez pas déçu ; j'en suis sûre.
L’incertitude du bonheur, la violence des attentats, sont les thèmes principaux de ce roman. Tout se passe à Venise (comme l'indique le titre)
C’est très descriptif tant pour les personnages que pour les lieux ou les faits. La construction est classique, sans surprise, mais la lecture est très agréable grâce à une belle écriture et un style certain.
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