Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
Un livre où l'auteur nous raconte ses différents voyages en train que ce soit TGV ou TER, 1ère ou seconde classe. Il se livre à l'observation des gens qui l'entourent, ses voisins de siège. Pour faire de belles rencontres, rencontrer des casse-pieds, se rappeler des souvenirs, vivre des moments drôles ou la galère des jours de grève le train c'est pas mal. Un livre qui donne envie de voyager en train.
« Éloge de la séduction »
« Je vous écris de chez ces hommes.. »
Alors, on devient profondément vivant.
Cet essai prodigieux, sociétal, rassemble l’épars. Les hommes et femmes, cercle infini des mansuétudes. L’idiosyncrasie, l’arborescence et tous, écoutons cet éloge à voix-haute, certifié et humble, apprenant et fidèle à l’exactitude des convictions de David Medioni.
Quel est cet homme idéal dont l’emblème dévoile le champ des possibilités ?
Qui de l’homme ou de la femme ?
David Medioni décortique les diktats, les aprioris.
« N’est-ce-pas à l’opposé de ce qui meut la plus grande partie de l’humanité : le besoin d’interaction avec l’autre et son imaginaire justement ? »
« Tout ce qui est excessif est signifiant », jugeait Talleyrand. Méditons collectivement son message. »
David Medioni est un éclaireur, le flambeau en main, il indique la voie, celle de l’unité, de la concorde, l’alliage où l’homme retrouverait son appartenance, jamais seul. Mais, dans cette union avec des certitudes, non soumises aux habitus, aux corpus, et au pragmatisme.
« Pour construire. Avec les hommes et avec les femmes, le monde de demain. »
Un masque qui tombe peut camoufler un préjugé qui s’envole dit l’adage. La séduction, le libre-arbitre, déconstruire les carcans oppressants.
Les miscellanées lèvent le voile oratoire. Ici, tout est grand et pacifique.
« Si, étymologiquement, séduire veut dire « écarter du droit chemin », il veut aussi dire, toujours si l’on se fie à son étymologie, « action de prendre à part ».
« Prendre à part », créer des exceptions, créer avec l’autre. Homme, femme, ami, amant, peu importe finalement pourvu que l’on séduise ».
La sociologie au garde-à-vous, l’éloge enfle, touche son but, celui de nous faire réfléchir, d’oser. Qu’importe les pudeurs, les contre-façons, la séduction se doit d’être avant-gardiste, courageuse et spéculative.
« Je considère qu’il est temps de dire stop à la pudibonderie et à l’hypocrisie ».
La séduction est l’approche de la fraternité. « C’est dans la faille que la lumière entre. C’est dans la faille de l’homme comme dans celle de la femme, que nous pouvons nous séduire ».
« Éloge de la séduction » liberté suprême. « En sexualité, la séduction a un nom : l’érotisme ! ».
Dénouer les carcans, construire pierre après pierre, les éducations souveraines et consentantes . La séduction est aussi une philosophie et l’universalité.
Cette conférence à ciel ouvert, « Éloge de la séduction » est la marée-basse où tout peut changer encore, l’équité, la tendresse et l’unité. « Tout est possible. En égalité. En humanité ».
Ce parchemin lumineux, érudit et vivifiant est un outil pour comprendre le vivre et le faire ensemble.
Le macrocosme : l’empathie séductrice.
Un éloge existentiel, une urgence de lecture, tant notre prochain est au cœur de cet essai, riche de références, d’éclaircies et de bouquets d’altruisme. Un essai d’utilité publique.
Publié par les majeures Éditions de L’Aube.
David Médioni nous propose un petit essai optimiste qui remet à l'honneur la séduction avec son sens du partage et de la joie entre hommes et femmes.
Il se pose la question suivante : finalement, après le raz de marée de Mee Too,comment les hommes peuvent reprendre une place et renouer le lien hommes-femmes avec toute la magie de la vraie séduction ou les relations sont plus harmonieuses ?
Il dresse le constat actuel de ces relations plutôt abîmées où chacun campe sur ses opinions en dressant un mur infranchissable. En tant qu'homme hétérosexuel, il se sent perdu face à ces nouvelles règles édictées par les féministes mais aussi révolte par toutes les violences sexuelles infligées par certains hommes dominateurs.
En rejetant Dom Juan et ses conquêtes guerrières, l'auteur se tourne plutôt vers Casanova, le séducteur qui souhaitait , non pas conquérir mais rencontrer l'autre et partager de la joie.
Par un charmant hasard, l'auteur rencontre l'écrivain dans une trattoria vénitienne et commence alors un dialogue entre l'auteur de " l'histoire de ma vie" ( ouvrage de référence sur la séduction au 18ème siècle) et David Medioni, homme du 21eme siècle. Ils vont aborder la séduction sous divers angles : son rôle dans la société comme dans la sexualité et la place des hommes .
Cette nouvelle séduction se veut une fête des sens où trône l'égalité entre les partenaires , le partage , le jeu et la curiosité.
La lecture est fluide , illustrée par de nombreuses références littéraires comme Romain Gary, Anais Nin, Albert Camus .il fait appel aussi aux philosophes Delphine Horvilleur et Anne Dufourmantelle.
Cet essai nous ouvre de belles perspectives de rencontres après cette période tourmentée de crise sanitaire.
Savoir aimer
Un essai revigorant et riche pour bien commencer 2022. Avec David Medioni, qui veut redonner ses lettres de noblesse à la séduction, je vous souhaite la plus belle des années 2022, de générosité, de fraternité et d’égalité.
«Et si, au fond, la séduction et l'érotisme tels que nous les entendons n'étaient rien d'autre qu’une générosité complice où l'on donne autant que l’on reçoit, où l'on partage et où l'on ouvre l'ensemble de ses sens? Pour ressentir ensemble.» C’est la thèse défendue par David Medioni qui, après Être en train, nous offre cet essai qui fait le constat d’un dérangement des relations entre hommes et femmes qui soit se joue sur le rôle agressif, chacun des sexes défendant son pré carré et s’arc-boutant sur ses conquêtes, soit sur un nouvel ordre amoureux qui donne aux femmes, après #MeToo, le rôle de juge des règles autorisées en matière de séduction. Ce qui pour l’hétérosexuel commun est plutôt paralysant. Et ne parlons pas de la crise sanitaire venue compliquer encore davantage les choses.
Le constat ne date pourtant pas d’hier. Déjà, il y a des décennies on vilipendait Romain Gary lorsqu’il affirmait que «le drame des hommes et des femmes, en dehors des situations d'amour, en dehors des situations d'attachement profond, est une sorte d'absence de fraternité. Tout cela est dû à des siècles et des siècles de préjugés qui font que l'homme doit conserver son image virile et supérieure, la femme son image féminine, douce et soumise et que finalement, l'égalité dans l'explication franche, ouverte et libre (y compris dans les questions sexuelles) est un tabou.»
En critiquant cette «intoxication, cette infection virile» qui n'a que très peu de rapports authentiques avec la virilité ou ce qu'elle est réellement, le romancier était dans le vrai. On ne l’a pas écouté. Alors David Medioni, qui cherche à «tracer les lignes d’une masculinité pour le XXIe siècle a l’idée de partir pour Venise afin d’y rencontrer un maître en matière de séduction, le grand Casanova. Et le miracle se produit, assis dans une trattoria, il peut deviser avec l’auteur d’Histoire de ma vie, manuel inspirant pour tout séducteur et lui exposer son projet, «réinventer l'homme, pris dans un étau entre la performance patriarcale qui incombe – qu'on le veuille ou non – à chacun des hommes, et le nécessaire accueil des femmes dans l'égalité, C’est maintenant. Ou jamais.»
Après un instant de sidération devant l’état des relations entre hommes et femmes aujourd’hui, le Vénitien ne tarde pas à reprendre la main et à donner raison à son interlocuteur, fervent amateur du badinage et même de l’amour galant. Car il s’agit bien plus d’avancer ensemble, de se découvrir dans un respect mutuel que de conquérir. La séduction n’est pas une bataille, mais un subtil besoin de découvrir l’autre, quitte à se découvrir soi-même. Reste la délicate question de la sexualité. Que David et son interlocuteur cernent, notamment avec les femmes et les réflexions de Belinda Cannone Belinda, Amandine Dhée, Anne Dufourmantelle ou encore Delphine Horvilleur (voir à ce propos la bibliographie éclairante ci-dessous).
«Recentrons nous. Ce que j'avançais était qu'en plus de se transformer en érotisme au moment où elle entre dans le champ charnel, la séduction mute aussi en une curiosité complice et égalitaire des deux êtres humains concernés. Toujours entre deux partenaires de jeux. C’est ainsi que la sexualité érotique, faite de séduction, de complicité et d'égalité, est peut-être le plus grand champ des possibles qui soit et, par la même occasion, un terreau fertile d'élaboration d’un nouvel ordre social où l’homme et la femme, suite aux jeux qu'ils ont explorés et auxquels ils ont gagné ensemble, trônent désormais sur le pied d'égalité le plus parfait.»
Joli programme pour 2022!
Je vous souhaite à tous qui me faites l’honneur de me lire, de pouvoir partager la même émotion que Maria Casarès s’adressant à Albert Camus: «nous nous sommes rencontrés, nous nous sommes reconnus, nous nous sommes abandonnés l’un à l’autre, nous avons réussi un amour brûlant de cristal pur, te rends-tu compte de notre bonheur et de ce qui nous a été donné?»
https://urlz.fr/h3TE
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