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Après une semaine de lutte, oui j'ai terminé LSD 67. Et j'en suis heureuse.
Dire si oui ou non j'ai apprécié ce livre est difficile… C'est une ambiance particulière qui règne, j'ai eu un peu de mal à m'y faire au début, arriver à distinguer ce qui relève du « réel » et de « l'imaginaire » dû aux effets des différentes drogues ingurgitées par le narrateur et ses amis.
Dans l'épilogue, l'auteur, Alexandre Mathis, présente les personnes qu'il a connu à l'époque, en 1967/68, et comment il s'en est inspiré pour écrire ce livre… Et je me demande si finalement, l'épilogue n'aurait pas été mieux placé en prologue…
Au final, ce livre me laisse perplexe. Est-ce que je le recommanderai ? J'ai beaucoup de mal à répondre à cette question… Je pense qu'il intéresserait beaucoup les personnes qui ont vécue cette fin des années 60, en plein coeur de la capitale. Ils pourraient je pense facilement se remémorer cette époque, d'autant plus, il faut le noter, qu'un énorme travail de recherches à été fourni par l'auteur au vue des indénombrables références cinématographies notamment, mais aussi sur un Paris dont on pourrait facilement retracer un plan à la lecture de ce roman.
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