Il y a beaucoup de charme, en même temps qu’une grande nostalgie dans ce livre écrit par le comédien et auteur, Philippe Torreton. Hymne à Mémé, mais également reflet du temps qui passe, coups de pieds et coups de cœur donnés aux souvenirs d’enfance que l’on tient bien au chaud dans sa mémoire.
Résumé : Dans "Mémé", Philippe Torreton dresse le portrait de celle qui fut le personnage central de son enfance. Dans les années 1970 et 1980, sa grand-mère vivait en Normandie. Il lui revient en mémoire les meubles en formica, les parties de dominos, la tendresse et la vie simple.
En partenariat avec les éditions J’ai lu nous vous proposons de gagner l’un des 10 exemplaires de Mémé de Philippe Torreton mis en jeu.
Dites-nous en quelques mots (dans la partie commentaires, ci-dessous) quel est votre plus beau souvenir avec votre Mémé, ou votre Pépé, votre papi ou votre mamie, qu’importe le petit nom affectueux qui vous lui donniez !
N'oubliez pas que pour participer vous devez être connecté avec votre profil, et que vous devez avoir complété votre profil avec vos 10 livres préférés et au moins 3 ou 4 avis. Vous avez jusqu’au 27 février.
Merci à tous pour votre participation, vous avez été nombreux à participer pour tenter de gagner « mémé ». Bravo aux gagnants. Reine Claude ; Carole Eschalier ; Magali Dondeyne ; Michèle HENRY ; Rebecca Renard ; Pascale Hilaire ; agnes DROUDUN ; Mireille BROCHOT ; Fabienne DEFOSSE - VERRIER ; cecile prouff
Un mail vient de vous être envoyé pour vous demander vos coordonnées.
J’ai un peu honte de ma première réaction en recevant le livre. J’ai pensé : l’auteur ne s’est pas foulé, son livre est un peu maigre. Effectivement, on reste un peu sur sa faim dans le sens où on n’a pas envie de lâcher « mémé », c’est trop court et c’est très beau !
La mémé de Philippe TORRETON, c'est un peu la notre et cela nous la rend tellement attachante. Il y distille beaucoup de poésie et beaucoup d'amour. Avec en filigrane, la nostalgie de l'enfance envolée et une société qui se rêvait société de consommation...
Merci pour ce livre charmant.
Merci à Philippe TORRETON qui a fait ressusciter ma mémé normande le temps d'un roman. Car effectivement tout le monde a eu une mémé approchante de celle décrite par l'auteur, mais une mémé normande avec les mêmes caractéristiques m'a fait penser qu'il était peut-être un cousin éloigné ignoré et que nous avions partagé la même grand-mère. Que de fraîcheur, de drôlerie et d'amour que ce petit roman qui se lit pas si vite que cela, car j'ai eu envie de faire durer ce moment où je retrouvais les mêmes jeux, les mêmes gestes de cette grand-mère guère causante mais tellement aimante. Un livre qui fait chaud au cœur et qui relate un passé joyeux qui ne reviendra plus et que les nouvelles générations ne connaîtront jamais plus. Car Philippe TORRETON ne fait pas qu'évoquer sa "mémé", il nous parle d'un temps où tout était permis, un temps révolu où il faisait bon vivre, même avec pas grand-chose, mais où les sentiments étaient plus importants que le désir de posséder qui fait la société d'aujourd'hui. En quelques pages l'auteur ramène les choses à leur véritable valeur, une bouffée d'air frais, un vent vivifiant, un éloge à des gens simples qui ont œuvré toute une vie et dont on ne parlera jamais. Grâce à l'amour de son petit-fils, cette mémé est sortie de son anonymat pour notre plus grand plaisir.
J'aimerais pouvoir le lire cela doit nous replonger dans nos souvenirs d'enfance ...
Bonjour J'aimerai beaucoup lire ce livre qui je suis sûre va me toucher moi qui ait eu des mémé pas vraiment comme cela du roman.Merci.
Moi aussi j'appelais mes 2 grand-mères Mémé et ne plus le dire me manque ...
Le concours est terminé mais j'ai quand même envie de parler de ma grand-mère, nous l'appelions Mémé aussi, elle vivait seule et nous allions la voir tous les 15 jours pour un repas de famille. Elle aimait la bonne chaire et cuisinait toujours un plat avec un demi-litre d'huile d'olive, ce ne pouvait qu'être très savoureux ! Elle m'emmenait dans ses parties de cartes avec ses copines, était très rieuse et très ouverte aux modes de vie et cultures différentes que la sienne. Elle gardait toujours dans un précieux tiroir de commode, des malabars, tic-tac et caramel pour ma sœur et moi ! Je me souviens aussi de lieux et d'odeurs... Merci pour ce livre qui permet de se replonger dans des souvenirs fabuleux.
Un livre bien attirant ... qui me rappellerait mon pépé, et nos longues promenades en forêt, à l'affut du gibier
Quand mon pépé m apprenait le patois
J'ai de très bons souvenirs avec mon papy. Il était boulanger, les vacances chez lui étaient synonymes de plaisirs et gourmandises. Nous étions réveillés chaque jour par l'odeur des croissants et autres viennoiseries. Une pâtisserie nous attendait sur la table pour le petit déjeuner. On allait avec lui cueillir les fraises, groseilles, prunes et autres fruits pour faire des tartes, .... Plein de bon souvenirs qui m'ont laissé le goût des bonnes choses
Choisir un seul souvenir n’est pas facile ! Les vacances passées chez mes grands-parents restent inoubliables, et notamment quand nous partions à la cueillette des champignons. Mémé (et son œil de lynx) remplissait le panier, pendant que Pépé m’apprenait à tirer au lance-pierres, à l’aide de celui qu’il avait fabriqué quand il était enfant, et qu’il a gardé soigneusement rangé dans son établi toute sa vie.
J'ai de très bon souvenir de mon "pépé" qui venait très régulièrement à la maison, pour aider mes parents à cultiver le potager. C'était une de ses grandes passions, qu'il a transmis à ses enfants et petits enfants, et oui, nous avons tous un potager grâce à lui.
Sûrement un livre touchant et a decouvrir je le connais qu' en tant acteur mais pas écrivain a suivre
ma cousine et moi passions des après-midi entieres a aider notre grand-mere, que l'on surnommait "mama Gilda"- en raison de nos origines italiennes - a faire des gateaux, bonbons italiens aux fetes de fin d'annee essentiellement.
Ma grand mère..."mémé " chez nous qu'on les appels, je me souviens encore du temps ou elle se tenait sur ses jambes, elle me prenait par la main et on allait se promener, a cette époque le coin ou ma mère habitait avec elle était encore très sauvage on apercevait souvent des petits hérissons dans le sous bois qu'on traversait pour aller chez mon tonton.... doux souvenir que ma Mémé ne cesse de se remémorer quand je suis avec elle dans son petit appartement... assis sur son lot sans ne plus pouvoir en sortir.... cela me rend triste.
J'aimerai beaucoup et serait un honneur de lire ce roman, de voir de ressentir les émotions de l'auteur avec sa Mémé l'une des femmes les plus importantes de notre vie.
Ma grand-mère était propriétaire d'une ferme, j'adorais l'aider. Elle avait une phobie des rats et souris. Un jour j'ai trouvé un rat mort près du poulailler, je l'ai ramassé et j'ai courru derrière elle avec. Sur le coup elle était très en colère, bien que des années après on en rigolait encore comme des folles.
Mon arrière - grand-mère paternelle et ses doux gâteaux où on lisait sur leur surface des petits mots tendres, ma grand-mère avec son chapeau de paille et ses groseilles rouges alléchantes, que de beaux et bons souvenirs alors j'ai une folle envie oui de lire ce livre pour peut-être avoir l'impression qu'elles ne m'ont pas quitté.
Je garde un magnifique souvenir de la vaisselle... dehors (la campagne proche de Nevers) avec ma mamie, ma mère et ma grande soeur ... Nous avions différents bassines et la vaisselle passait de main en main. L'une lavait, la seconde rincait une première fois, la seconde faisait le second rinçage et la dernière l'essuyait. Des petites moments de bonheur auxquels je pense avec émotion.
j ai adoré avec ma soeur jumelles prendre le bus de Champigny et se rendre à Rosny2 faire la virée shopping. le retour était plus difficile : mal "aux pattes" et plein de sacs MAIS heureuse d avoir passé une après midi avec Elle.
J'adorais cuisiner avec ma mamie des oreillette une spécialité pied-noire, un peu comme nos beignets de carnaval. Elle faisait aussi la touchouca une tarte avec de la ratatouille et des calamars farcies. J'adorais ça. Tous les étés nous allions passer les vacances chez mamie et papi à la Londe les Maures près de Toulon. On allait à la plage avec le petit train. On allait se baigner et ensuite on cherchait les pignons de pins. Des souvenirs merveilleux...
Mon plus grand souvenir c'est quand elle répétait des mots a la jeune et qu'elle comprenait pas ce que sa voulait dire trop marrant et quand on l'envoyait faire des aventures avec nous ....le bon vieux temps , qu'elle repose en paix
J'ai vécu chez mes grand-parents la plus grande partie de mon enfance. Ma grand mère "mamie" était une toute petite femme aux yeux bleus rieurs. Elle sentait la poudre de riz. Un de mes souvenirs est qu'elle m'occupait pendant que pépère planquait les chocolats de Pâques dans le jardin . Elle me disait "Tu as entendu les cloches" elle avait un tel pouvoir de persuasion que je me mettais à les entendre. Et là la recherche avec leurs aide, du pur bonheur...Tu me manques ma maie
J'ai une petite-fille qui a soufflé sa 1ere bougie le 27/01...je suis comme amoureuse d'elle, elle me fascine, me fait rire et sourire et elle me manque parce qu'elle vit assez loin de chez moi...une bonne raison pour que ce roman me parle...
Lorsque je dormais chez elle, je me glissais dans son lit au milieu de la nuit et on papotait jusqu'à pas d'heure pendant que pépé rouspétait à côté parce qu'on l'empêchait de dormir! J'adorais qu'elle me raconte ses souvenirs d'enfance!
Ma petite madeleine de Proust, c'est l'odeur du goûter pris dans' l´ancienne ferme de ma mamie, sur la grande tablée de bois qui pouvait accueillir au moins 15 personnes.'. Des rires, des cris, de la vie ! Entre le chocolat chaud poulain etles gaufres en forme de cœur...
Tous les ans à Noël ma mamie qui a 25 petits-enfants et déjà plusieurs arrières petits-enfants nous offre à tous une paire de chaussettes j'adore cette petite attention et me demander à Noël de quelle couleur seront-elles cette année?
Il y a très longtemps, la douceur et la gentillesse de ma grand-mère, mais aussi la grand-mère de 12 petits-enfants pour lesquels elle avait accroché dans son buffet, une vieille chaussette de laine qui contenait des pièces d'argent. Chaque dimanche, elle nous appelait auprès d'elle d'un petit signe qui n'était visible que par nous, les petits-enfants ; elle sortait ensuite avec un air malicieux cette "tirelire" et faisait une distribution à chacun d'entre nous. Quelquefois, étant la seule petite-fille, au milieu de tous ces garçons, j'avais droit à une plus "grosse" pièce ! Quel bonheur c'était ! J'en garde un souvenir émouvant ! C'était à la campagne, dans un petit village du Gard, une grand-mère tout habillée de noir, avec des cheveux très longs, blancs, maîtrisés dans un chignon très serré, dans un contexte familial terrien, simple et humble, mais enrichi par tellement d'amour !
Un grand merci pour cette initiative qui me renvoie à des décennies en arrière..........
Le meilleur souvenir que je garde de ma mémé et de mon pépé est les vacances d'été que je passais au petit village de mes grands-parents au Péloponnèse (oui en Grèce). Le odeur de mais, les vagues et la mer les coquillages que je trouvais sur le sable et les interminables promenades le long de la plage dorée.
Les souvenirs avec ma grand-mère Mam sont nombreux, il est difficile de n'en retenir qu'un façon "Madeleine de Proust". Alors, je citerais nos après-midi jeux accompagnés d'un bon gâteau maison ! J'aimerais pouvoir retourner en enfance une journée pour revivre ces merveilleux moments !! C'est pourquoi la lecture de Mémé de Philippe Torreton me fait tellement envie...
Mon plus beau souvenir avec ma grand -mère est d'avoir appris à lire et à compter avec elle en regardant son émission favorite à l'époque des chiffres et des lettres. je tente ma chance pour ce livre feel-good!
Bonjour, ma mémé n'était pas ma vraie grand-mère, mon grand-père veuf s'était remarié avant ma naissance. Chaque mois d'août, je le passais en vacances à la campagne avec mes grands-parents, dont ma grand-mère qui était devenue sourde à l'âge de 18 ans depuis qu'elle s'était rendue compte qu'elle n'entendait plus les cloches du village. J'avais une belle complicité avec ma mémé à qui je faisais mes confidences à l'adolescence. Mon meilleur souvenir est lorsque le dimanche dans la cuisine je lui chuchotais ce que je confiais finalement à mon journal intime (et surtout pas à mes parents) et qu'elle me comprenait, elle malentendante, alors que la famille au grand complet se tenait dans la pièce d'à côté en attendant le rôti.
A présent je lirai bien le livre de Philippe Torreton sur la sienne de mémé. Merci pour votre concours.
Un livre a découvrir, je participe
Quand on me dit Mémé, je pense à mon arrière-grand-mère. Quand j'étais petite et que j'allais chez elle, on avait toujours le droit au basset qui nous accueillait. Et lors des dîners, on dégustait toujours son velouté de patates-poireaux, que l'on n'a jamais réussi à reproduire. Je me souviens de ses lits trop hauts ; on était obligés de grimper sur une chaise pour pouvoir se coucher. Je me rappelle son sourire chaleureux et sincère, presque vingt ans après sa disparition.
Bonjour, le souvenir d'après midi pluvieuses, mais un bon cake fait maison et la boîte de scrabble pour faire passer le temps. Donc des souvenirs culinaires et joueurs.
Quand j'ai vu le titre du roman, j'ai forcément pensé à ma Mémé... Ses cheveux blancs , son visage doux, les confitures, l'eau de Cologne à la lavande.. Son geste pudique lorsqu'elle se cachait pour nous donner à ma soeur et moi, la pièce en argent de 10 francs pour nos étrennes.... Alors le lire serait partager un moment avec elle, elle qui est....ailleurs !
Mon plus beau souvenir avec ma mémé est lorsqu'elle m'emmenait avec sa charrette à lait, elle possédait trois vaches et elle mettait les bidons dans une petite charrette compartimentée pour retenir ces fameux bidons. Elle en laissait toujours un de vide, et je me glissais dans cet espace, mes petites jambes se balançant au gré des cailloux et des trous du chemin. Nous allions à la traite (manuelle) et les bidons se remplissaient de lait frais et chaud, j'avais ma timbale en fer et je m'en gavais pour mon goûter. Cette charrette, je l'ai vu la tirer parfois pleine de bidons remplis, à la force de ses bras, elle était costaud ma mémé et elle avait vraiment de la moustache et un peu de poils au menton, mais quand elle me préparait une brioche maison avec la crème de lait et de la gelée de mûres, je l'aurais embrassé jusqu'au bout de la nuit. Voilà mon plus beau souvenir de cette femme courageuse, méritante que je n'ai jamais entendue se plaindre.
Lorsqu on allait au marché le samedi matin. J étais toute petite (6 ou 7 ans) et j avais l impression d être en terre inconnue. Une foule de personnes âgées, apprêtées pour l occasion. Elles prenaient "leur" bon temps de la semaine et discutaient de sujet que je ne comprenais meme pas. Et tout ca, en achetant des légumes étranges que je ne voulais surtout pas manger !
Je ne comprenais rien mais j étais avec elle et ailleurs à la fois.
Bonjour.
S'il vous plait, je souhaite participer.
Merci.
Je n'ai connu ni grands pères ni grands mères, pas même mon père...Ce vide ne sera jamais comblé, mais pas de pathos, juste un destin.Cela ne m'empêche pas d'imaginer ma vie à travers celle des autres, et c'est ce que me permettent justement la lecture entre autres. Et quand l'auteur ou le comédien s'appelle Philippe Torreton, cela ne peut être que captivant, et sans nul doute, très émouvant. Aussi, même si je n'ai rien à raconter, puis-je participer et espérer partage les souvenirs de Philippe Torreton?
Pour moi ma grand-mère c'était mamie ! J'ai un très bon souvenir qui me fait beaucoup rire maintenant. Nous étions deux grandes gourmandes et l'été il n'était pas rare que nous mangions des quantités énormes de framboises à-même le pied. Mais ce qui était très sympa c'est que c'était les framboises de la voisine, alors on faisait cela avec le plus de discrétion possible mais en pouffant quand même de rire !
A chaque repas de famille j'etais assise à coté de grand-père il ne mangeait pas beaucoup moi j'etais gourmande et en douce il m'etait dans mon assiette tout ce qu'il ne voulait pas et en premier les champignons...;
Ce n'est peut être pas le meilleur souvenir, mais il est resté dans ma mémoire à tout jamais.
Je revois très clairement ces moments où l'été comme nous ne partions pas en vacances, et bien nous allions chaque après-midi rendre visite à "Mémé" afin de l'aider faire les confitures et les conserves de légumes.
Mon plus beau souvenir avec mémé ? Aucun je n'ai pas eu le plaisir d'en avoir.. Donc je vais me le procurer pour "ressentir" ce que cela peut être car le vivre par procuration à travers mes enfants c'est autre chose
Mon plus beau souvenir. ?..il y en a tellement. les parties de Petits chevaux, du jeu du moulin
Avec ma mamie paternelle, je nous revois assisses toutes les 2 côte à cote à ecosser les petits pois.
Avec ma mamie maternelle, je la revois nous couper de grandes tranches de pain de campagne, nous les tartiner de cette bonne pâte à tartiner entre 2 plongeons. ?.
Elles me manquent.....
Mon meilleur souvenir avec ma mamie et avec mon papi, ce sont les repas de famille, de les voir entourés de leurs enfants et petits enfants, heureux d'être avec nous, heureux de profiter de la vie à nos côtés. Ce sont pour moi des moments précieux, qu'il faut se rappeler et créer aussi souvent que possible, ce sont mes meilleurs souvenirs avec les grand-parents.
Mon plus beau souvenir fut mon premier repas seul avec ma grand-mère où nous avons pu faire connaissance, nous apprivoiser, avec pudeur, mais en vérité.
Je l'appelais Bapcha, "grand-mère" en polonais. Elle élevait des poules et des lapins...Au quotidien je l'ai toujours vue en robe tablier sur ses propre vêtements...Dans ses grandes poches elle nous réservait toujours des bonbons...Le goût des "croix bleue " et des bonbons fondants au lait me ramènent toujours à elle. Au fond des ses poches elle se gardait des valda...Un jour elle me confia non sans rire avoir voulu se rafraichir la bouche en sortant de l'écurie où se trouvaient les clapiers...Machinalement, elle porta la confiserie à ses lèvres...Etonnée de la texture nouvelle, de l'âpreté inattendue et surtout de l'absence de la saveur de menthe, elle cracha aussitôt et découvrit dégoutée qu'elle avait mis en bouche une crotte de lapin...
Je connais l acteur mais pas l écrivain c est vraiment à découvrir ....
Ce n'était pas "vraie" grand-mère, elle s'était occupée de ma mère quand elle était petite et depuis elle ne se sont jamais quittées... enfin jusqu'à ce que Mamita meurt. Je me souviens des vacances d'été à Carnac dans sa maison blanche. C'est elle qui m'a fait découvrir la littérature et qui m'a encouragée à lire. J'avais 16/17 ans et elle m'a mis entre les mains Le rouge et le noir. Rien qu'à lire le nom de l'auteur j'étais apeurée. Et puis, j'ai tourné les pages, jusqu'à la dernière. Le livre terminé, j'ai su que plus jamais je n'arrêterai. Voilà tout ce que je dois à ma Mamita.
J'ai passé toute mon enfance et mon adolescence auprès de mes grand parents maternels. Ma mémé s'appelait Pauline; elle était grande; ses cheveux poivre et sel comme elle disait. Je prenais tous mes goûters chez elle . Je partais en vacances chez elle car ce n'était pas loin de chez nous : elle vivait au dessus de chez nous . Nous jouions à des jeux de société, elle nous racontait sa vie, elle nous apprenait à danser et nous faisait écouter des chants Corse ...
aujourd'hui je lui rends visite tous les dimanches au cimetière et je fleuris son balcon en pensant à mon enfance auprès d'elle.
Les nombreux bonbons qu'elle me donnait en cachette, aller ramasser les œufs... Trop de souvenirs , trop d'émotions... beaucoup de bonheur..
Bonjour, je suis restée marquée par la figure du grand-père parce qu'il était à mes yeux très impressionnant et effrayant, je trouvais qu'il ressemblait à Jean Gabin ; on m'a raconté qu'il n'y avait que devant moi son unique petite-fille qu'il devenait tout tendre, j'ai même quelques photos où nous lisons ensemble qui l'attestent :-) ...
Bonjour,
Je veux bien jouer mais hélas je n'ai aucun souvenir avec un mémé ou un papy car je ne les ai pas connu. Ca ne me manque absolument pas mais j'aime bien quand même lire ce genre d'histoire qui font voyager dans le temps. :)
Bonne chance à tous.
bonjour, mon souvenir de ma mémé, ce sont ces 4 chats qu elle avait chez elle rue claude bernard a paris,ma mere n aimait pas les chats, alors c etait souvent moi qui venait la voir dans son appartement situé dans le quartier latin. Lors des evenements d emai 6_, mon cousin et moi-meme ont est resté bloqué lors de la nuit des barricades , notre mémé nous a protégé et nosu a expliqué que la violence ne mene a rien, elle nous a quitté helas un an apres, j ai eu du mal a faire le deuil, toujourts une pensee pour elle
Mon souvenir avec mes grands parents , c est la balançoire qui me semblait gigantesque au parc près de chez eux . Ce sont les après midi peinture car il fallait " aider" . Je me rappelle aussi de la brique que l on posait sur le poêle et que ma grand mère glissait dans mon lit pour le chauffer . Les courses avec le panier chez les commerçants du quartier car il n avaient pas de voiture . Je chante à mes enfants les chansons paillardes de mon pépé , je leur raconte les toilettes dehors . Mes grands parents m amenaient à la messe ou encore les après midi belote . Que de souvenirs du temps passé ensemble tout simplement .
Bonjour, je souhaite participer pour tenter de gagner un exemplaire de "Mémé" de Philippe Torreton. Des souvenirs avec mes papys et mamys, j'en ai beaucoup... Mais le meilleur est celui où nous, les petits enfants, étions assis autour de mon grand-père et qu'il nous racontait ses histoires de jeunesse... il partageait avec nous le temps d'un temps que nous n'avons pas connu, un Portugal à l'ancienne, rustique et plus authentique... Des anecdotes d'un petit village de montagne, où la jeunesse de son époque marquait son territoire... Merci
Quand j'étais petite, je faisais des gâteaux avec ma mamie que j'appelais mamou. Avec mon grand-père je riais à cause des nombreuses blagues qu'i faisait. Le soir j'allais dans leur lit et' nous jouions à la voiture. Mamie faisait le volant, mon papi les clignotants et les pedales et moi, les essuis-glace. Je voudrais tellement que papi soit encore là.