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En 1961, lors de son service militaire à Tarascon, Bernar Venet réalise une performance où on le voit couché au milieu de détritus. C'est sa première ouvre revendiquée. Plus de 50 ans après cette action, l'artiste occupe la place d'armes et les jardins du château de Versailles, à l'aide de ses « Arcs », de ses « Lignes indéterminées » et de ses « Effondrements » en acier Corten au total 8 sculptures monumentales. L'ouvrage, réalisé à l'occasion de cet événement, retrace le parcours visuel (voir plan ci-joint) d'un artiste protéiforme qui, de l'art conceptuel à l'art public, a fortement marqué le paysage esthétique contemporain, avec ses peintures, ses installations, ses performances, ses sculptures, mais aussi ses écrits. L'essai de l'artiste et critique d'art Brian O'Doherty s'attache à analyser la contribution de Bernar Venet aux grands questionnements de l'art et de la sculpture de notre temps. Au travers d'un récit étoilé et polyphonique, Bernard Marcadé met en perspective la figure singulière de l'artiste dont l'extrême rigueur n'exclut en aucune manière la liberté formelle.
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