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Benedict, Eva, Sylvie et Lucien sont inséparables depuis leurs années de fac à Bristol. Leur diplôme en poche, ils vont, pour la première fois, se disperser. Eva part à Londres où l'attend un poste dans la finance ; Benedict reste à Bristol pour suivre son doctorat. Quant à Sylvie et Lucien, fidèles à leurs rêves, ils entament une vie plus bohème, faite d'art et d'aventure.
A l'approche de la trentaine, leurs liens autrefois si forts se distendent. Le temps qui passe les éloigne les uns des autres, leurs routes divergent. Pourtant, leurs chemins vont à nouveau se croiser et faire revivre le souvenir de l'« été invincible » qui les a liés à jamais.
Entre Dona Tartt, David Nicholls et Jane Austen, un premier roman fin et juste sur ce doux bouleversement de la vingtaine, puissant hommage à l'amitié.
« Adams est maître dans l'art d'analyser les aspects les plus larges des classes et de l'économie, de l'art et de la science, de l'amitié et la famille, à la fin du siècle dernier. » New York Times Book Review
ILs se sont connus à la fac a bristol , ils avaient 20 ans , toute la vie devant eux . Eva andrews a grandi dans une petite ville du Sussex , bendeict waverley vient d une famille aisee , sylvie et lucien Marchand , eux sont freres et soeurs . Les quatre amis , le lecteur les accompagne au fil des annees . Eva devient une pointure de la city et Benedict un expert en physique des particules . lucien , un organisateur de soirees branchees et sylvie une artiste qui enchaine les boulots d interim . un été invincible regorge de moments de comédie et de scenes plus poignantes. Ici , tout le monde se cherche , hesite, se trompe. LA bande des quatre se perd parfois de vue ou se dispute. sans jamais que ce qui les unit ne se brise. Aucun doute, Alice Adams refera parler d elle
« Au milieu de l’hiver, j’apprends enfin qu’il y avait en moi un été invincible. » Cette citation d’Albert Camus a inspiré Alice Adams pour son premier roman qui, de l’été 1995 au mois d’août 2015 suit la vie de quatre amis : Eva, Benedict, Sylvie et Lucien, ces deux derniers étant frère et sœur.
Si l’essentiel se passe à Londres, l’histoire débute à Bristol, ne se refuse pas le cadre idyllique de Corfou, une incursion en Inde ou en Espagne et même un séjour bonifiant dans notre Languedoc, pour Sylvie. Leur amitié est sincère, solide mais va être secouée par les aléas de la vie et le passé de leur famille.
Ils terminent leurs études. Sylvie est en histoire de l’art et compte bien vivre de ses talents de peintre. Eva se destine au trading dans une grande banque d’investissement contre l’avis de son père, Keith. Benedict continue à étudier pour se spécialiser dans la recherche en physique et Lucien est vraiment attiré par l’organisation de fêtes et le monde qui entoure ces soirées avec les trafics que cela suppose.
Au fil des pages, Un été invincible permet de rencontrer d’autres personnes mais Eva va focaliser une bonne partie de l’intérêt de l’auteure qui nous plonge dans le monde sans pitié de la City.
En août 2000, ils réussissent à se retrouver tous les quatre en Galice pour marcher sur les 150 derniers kilomètres du Camino Francès menant à Saint-Jacques de Compostelle. Sylvie est au bas de l’échelle, Eva est rayonnante, Benedict révèle son côté mystique et Lucien a hâte de retrouver les fêtes londoniennes.
Occasions manquées, non-dits, l’amour affleure toujours mais peine à se concrétiser et c’est finalement ailleurs que chacun trouve sa chacune ce qui procure des situations tendues, cocasses parfois et toujours très révélatrices de ce que la vie peut révéler.
« Ils n’étaient pas Eva et Lucien, deux âmes sœurs voguant à travers les cieux sur un lit de nuages. Ils étaient deux crétins défoncés étendus sur le sol froid d’un parc public à 6 h du matin. » Le style d’Alice Adams est direct, concret. Si elle n’épargne pas les termes techniques indispensables dans le monde de la finance et nécessaires dans celui de la physique, cela ne gêne pas la lecture.
L’amitié se révèle plus forte et permet de surmonter bien des obstacles. Mariages, enfants, deuils familiaux, coups durs professionnels, elle permet de poursuive la route et ce roman qui se dévore avec plaisir et impatience le montre bien comme le dit si bien Sylvie : « l’amitié et l’amour sont à peu près les seules richesses qui valent la peine. Tout le reste, c’est du superflu. »
Chronique illustrée à retrouver sur : https://notre-jardin-des-livres.over-blog.com/
Ce roman est une véritable bouffée d’air frais qui se lit agréablement. Il nous fait réfléchir au sens de la vie et à voir plus loin que le bout de son nez.
Ici, les personnages prennent des chemins différents après l’université et la distance kilométrique entraîne inévitablement une distance psychologique.
D’une façon presque poétique, Alice Adams a le don de nous ramener dans la passé, vers la jeune personne que nous étions. Les rêves d’adolescents des personnages s’étiolent peu à peu lorsque la réalité de la vie les rattrape.
Derrière l’aspect un peu « simple » de l’histoire, Alice Adams nous propose un récit qui aborde le sens de la vie. Le roman s’écoule sur 20 ans, de 1995 à 2015 et l’auteur aborde en profondeur les sujets importants des années 2000 ; tels que les progrès de la science, le 11 septembre, le capitalisme, le monde de la finance puis la crise économique de 2008, mais aussi le handicap.
Un premier roman délicat, profond et touchant. Une ode à la fraternité qui réconforte et qui nous donne envie de choyer nos amitiés !
Benedict, Eva, Sylvie et Lucien ont passé leurs années de vie d'étudiant ensemble et soudés. À chacun de prendre son envol professionnel, personnel ou amoureux, sauront-ils préserver leurs liens ?
C'est l'histoire de vies, du temps qui passe... De l'insouciance et l'effervescence de la jeunesse, des amitiés fortes et exubérantes aux expériences à faire soi-même, pour découvrir toutes ses facettes et aborder la maturité... C'est par toutes ces étapes que l'on passe à travers ce roman.
C'est écrit avec beaucoup de justesse, une pointe d'humour et une infinie tendresse. Il y a des histoires de cœur pudiques, latentes, tronquées, des fanfaronnades, des ambitions qui se cherchent, qui ont du mal à percer, des réussites relatives, de nombreux obstacles ; les parcours sont différents...
Et si leurs liens se déroulent et se délitent au cours de ces années, au fond rien ne s'oublie. Les personnages nous parlent, nous touchent dans leur vulnérable naïveté. On aime éprouver, souffrir avec eux de leurs embûches, de leurs maladresses. On suit leurs passages obligés ou les occasions ratés, les erreurs leur ouvrent l'opportunité de belles leçons.
On se laisse porter avec eux par ces années qui passent et qui impriment leurs marques profondément et durablement. A l'heure des retrouvailles, le "Mais qu'est-ce qu'on a fait de ces années ?" n'a que peu ou plus d'importance. Ils sont là réunis, ont vécu et s'en sont plutôt pas mal sorti finalement.
Un récit plein de saveurs sur l'amitié et sur la façon dont elle traverse le temps. Tout tendre et plein de sagesse, vous n'avez plus qu'à vous laisser tenter !
Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'Un été invincible (en référence à Albert Camus) est un roman de saison. Sera-t-il pour autant le roman de l'été ? Rien n'est moins sûr !
Benedict, Eva, Sylvie et Lucien sont inséparables depuis leurs années de fac à Bristol. Leur diplôme en poche, ils vont, pour la première fois, se disperser. Leurs liens autrefois si forts se distendent.
Un été invincible débute à l'été 1995 pour se terminer vingt ans plus tard, en Août 2015. Vingt années durant lesquelles nous suivons ces quatre amis. Il y a ceux qui poursuivent leurs rêves, ceux qui ne veulent pas grandir, ceux qui investissent coûte que coûte leur projet professionnel et qui finissent par s'oublier, il y a ceux qui ratent leurs rendez-vous, ceux qui passent le plus clair de leur temps à se chercher. Ils étaient liés, la vie se chargera de les éloigner un temps pour finalement mieux se retrouver.
Un été invincible est un hymne à l'amitié, la vraie. Celle qui résiste au temps qui passe, celle qui demeure malgré les épreuves de la vie. Un été invincible est un roman à la fois léger et profond. Il se lit facilement sans pour autant nous transporter, certainement parce que les étés s'enchaînent un peu trop vite, ne permettant pas aux personnages de s'ancrer en nous. C'est un roman somme toute agréable, mais certainement pas le roman de l'été.
Un été invincible c'est 344 pages ou vingt ans d'amitié sincère. Au milieu de l'hiver, je saurai m'en rappeler...
https://the-fab-blog.blogspot.fr/2017/06/mon-avis-sur-un-ete-invincible-dalice.html
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