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Sans avoir été traduit en anglais, World Literature Today (USA) a consacré un long article à Un Enfant d'Afrique. On lit dans la postface de la traduction en russe : « L'oeuvre d'Olympe Bhêly-Quenum suscite beaucoup de sympathie pour cette Afrique, qui, quoique lointaine, nous est devenue tellement proche grâce à lui ». D'éminentes personnalités se sont exprimées sans détour : président du Sénégal, membre de l'Académie française, le grand poète Léopold Sédar Senghor avait écrit à l'auteur : « Votre livre est bon, la pédagogie en est fort appréciable, mon fils Philippe le lira. ».
Henri Queffélec, de l'Académie Goncourt, confiait dans une lettre manuscrite sa « très délicate surprise en lisant dans le beau livre Un Enfant d'Afrique, une référence concernant le Journal d'un Salaud ».
Le directeur général de l'Unesco, René Maheu écrivit : « un livre pour les enfants d'Afrique et ceux des autres pays ! [.] quel plaisir aussi que de découvrir dans ce beau livre, des enfants de paysans alphabétisant leur père ! » La Commission culturelle de l'Organisation de l'Unité africaine a souhaité la traduction de cet ouvrage en plusieurs langues afin qu'il soit accessible à tous les jeunes.
Lors de l'hommage rendu au célèbre écrivain nigérian, Chinua Achebe, Olympe Bhêly-Quenum a fait le récit de leurs échanges : « Trois ans avant son décès, il m'a téléphoné pour savoir si Un Enfant d'Afrique était traduit en anglais, puis il précisa qu'il voulait collaborer à un livre pour les jeunes africains et qu'un lecteur l'avait informé que ma description du marché d'Onisha et de ses mystères était remarquable. »
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