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De la puanteur des enfers à l'odeur de sainteté, la Bible parle à tous les sens de l'homme. Sentir Dieu vaut bien le fait de le voir ou de l'entendre, car c'est le ressentir dans sa chair. Une éducation à la spiritualité, légère et prégnante, des parfums.
Ce livre raconte comment la Bible est un livre empreint d'encens, d'huiles odorantes, d'aromates.
De Joseph vendu à des marchands qui en font commerce à Caïphe qui en oint le temple, en passant par la reine de Saba qui en charge ses chameaux, à la fiancée du Cantique resplendissante de baume et à Marie de Magdala porteuse de myrrhe, Anne Lécu relit ici le Livre des livres comme une immense chronique du parfum, car le salut est une affaire de corps, de visages et donc d'incarnation.
Encadré de senteurs, de sa naissance à son tombeau, le Christ n'est-il pas le parfum du monde, enfermé dans la terre pour s'exhaler au jardin de la résurrection ? Et la dévotion populaire dit-elle autre chose en vénérant l'odeur de sainteté qui se lève des dépouilles mortelles en cette promesse d'immortalité que la poésie sait évoquer avec tant de justesse ?
Appelant au sens mystique qu'est l'odorat, voici un traité et une célébration de la joie amoureuse dans ce qu'elle a d'impalpable.
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