80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
La séparation entre un monde dit de l'art et le monde du travail semble aller de soi. Or, y a-t-il d'un côté le travail purement aliénant, répétitif et désincarné et, de l'autre, celui par lequel se réaliser, faire oeuvre de soi ? De même, la sphère générale de la production est-elle réductible à un univers de la réplication des objets utilitaires et fonctionnels, et au sein duquel le travail a une valeur principalement instrumentale : gratification salariale, statut social...? Pour envisager une esthétique sociale en rupture avec le fétichisme de l'objet d'art, il faut questionner les évidences qui postulent une différence de nature entre l'oeuvre et le produit, à la lumière de la tradition philosophique. Le rapport social au travail demeure conflictuel et controversé par la prépondérance de ce dernier dans nos vies. Il revient donc d'en explorer la complexité, mais également les débats de normes à propos de l'emploi, du non-travail, de l'artistique, du revenu d'existence et du temps libéré.
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