80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Qui mieux que la fille de Daniel Toscan du Plantier, Ariane, née de son premier mariage avec la comédienne Marie-Christine Barrault, pour démêler les fils de ce père qui aurait pu être un personnage de film ou de roman ?
Figure majeure du cinéma français pendant trente ans, des années 1970 à 2000, Daniel Toscan du Plantier a produit Robert Bresson, Joseph Losey, Federico Fellini, Peter Greenaway, et les plus grands films de Maurice Pialat. Son nom rime aussi avec Gérard Depardieu, Isabelle Huppert ou Isabella Rossellini. Charismatique en diable, séducteur, il faisait partie de la race, aujourd'hui disparue, de ces seigneurs qui pouvaient dépenser sans compter au service de l'art et des créateurs, quitte à faire trembler les comptables. Amoureux des femmes, marié à plusieurs reprises, et père de cinq enfants, ce grand homme public reste, pourtant, un mystère.
Alors qui mieux que sa fille, Ariane, née de son premier mariage avec la comédienne Marie-Christine Barrault, pour démêler les fils de ce père qui aurait pu être un personnage de film ou de roman ?
Ariane, devenue, au fil du temps, et par sa seule volonté, une femme de cinéma influente, et attachée, aujourd'hui, à entretenir et promouvoir le patrimoine Gaumont, dont les grandes productions de... Daniel. Une fille qui a papa dans son « catalogue » autant, sinon plus, que dans ses albums de photos de famille.
En racontant son « Toscan » à la première personne, et leurs rapports filiaux, Ariane sort de l'ombre et ranime l'héritage de son père.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année