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« En course, on oublie la terre ferme et les soucis du monde. On s'installe dans une vie hors planète, avec des préoccupations qui échappent à la plupart des mortels. Je vis coupé de l'humanité », racontait Éric Tabarly.
En 1964, la France a pourtant les yeux rivés sur celui qui remporte, à bord du célèbre Pen Duick II, la Transat anglaise, contre toute attente. Le jeune Nantais de trente-quatre ans est bientôt hissé au rang de héros national, participant pleinement à redonner aux citoyens de son pays l'espoir d'un avenir meilleur après les meurtrissures de la guerre.
Tenace, opiniâtre, déterminé, Tabarly fut ainsi, pour toute la seconde moitié du XXe siècle, l'un des derniers porteurs de l'idéal de la résistance, au sens fort du terme. Une icône, sans aucun doute.
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