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Belgique années 1950 : la colère sociale gronde dans ces années d'après-guerre.
Georges Doobeleer, attiré par le personnalisme d'Emmanuel Mounier, participe au réseau belge de la revue Esprit animée par Jean-Marie Domenach. Mais très vite, insatisfait par cette voie, il rejoint les rangs de la 4e Internationale. Cet engagement politique le mêle aux grandes luttes sociales de l'époque. Il devient un des principaux animateurs de la Jeune garde socialiste, l'organisation de jeunesse du Parti socialiste belge, qui publie l'hebdomadaire La Gauche.
Engagé syndicalement, il agit au quotidien dans le mouvement ouvrier belge. Militant trotskiste, il participe au réseau d'aide au FLN, parcourt la Pologne où il rencontrera en 1964 Jacek Kuron et Karol Modzelewski pour la reconstruction d'une organisation trotskiste dans ce pays. Il sillonnera également le Japon, l'Asie du Sud-est et l'Inde comme envoyé spécial de l'International trotskiste. Ce récit autobiographique s'achève alors que résonnent les coups de tonnerre de Mai 68.
Document social et historique sur la Belgique des années 1950 et 1960, le journal de Georges Doobeleer restitue l'atmosphère d'une époque, ses espoirs et ses déceptions. Un roman de vie plein de rebondissements.
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