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Sur les traces de la déesse ; chants de l'infini féminin

Couverture du livre « Sur les traces de la déesse ; chants de l'infini féminin » de Olivier Walter aux éditions Altess
  • Date de parution :
  • Editeur : Altess
  • EAN : 9782842430955
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Qui est la Déesse ? Une image, une allégorie, une idée, un phantasme, une métaphore ? La Déesse, au travers de la femme ou de l'homme en quête spirituelle, accélère le processus de connaissance de soi, libère l'esprit et l'inconscient de ses fantasmagories, de ses peurs, de ses représentations... Voir plus

Qui est la Déesse ? Une image, une allégorie, une idée, un phantasme, une métaphore ? La Déesse, au travers de la femme ou de l'homme en quête spirituelle, accélère le processus de connaissance de soi, libère l'esprit et l'inconscient de ses fantasmagories, de ses peurs, de ses représentations conditionnées et des automatismes comportementaux qui s'y rattachent.
Se souvenir que le monde - l'Homme dans le monde - peut se vivre comme une sensorialité sacrée, comme un orgasme extatique constant et subtil - expression naturelle du fait même d'être au monde, d'exister. Ce souvenir vivant dans le corps et l'esprit est source de joie sans objet, de joie parfaite. La Déesse révèle ce souvenir constant ; Elle est la présence au Soi, Elle est ce par quoi l'unité de l'être est retrouvée.
En tant que créatrice de l'univers, Elle en est aussi la fondation, l'ossature véritable du corps sous l'apparence d'une femme ; en Elle repose la forme de toutes choses, de tout ce qui vit et se meut dans le monde. Rendre un hymne à la Déesse, c'est honorer l'existence en dépouillant les êtres et les choses de la fiction qui les rend vénérables, c'est fouiller au tréfonds de la matière la perle rare de l'instant présent.
Que signifie " aimer ", sinon embrasser d'un seul oeil le laid et le beau, le faux et le vrai et voir le beau dans le laid, le vrai dans le faux ? Que signifie aimer sinon être porté d'une seule main par sa propre humanité, sinon traverser l'opacité des expériences inachevées jusqu'à leur point d'incandescence où les mémoires douloureuses laissent éclore un seul souvenir - la félicité de notre vraie nature ?

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