"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Avec ce premier livre sur l'oeuvre du graveur Louis-Joseph SOULAS, Christiane NOIREAU nous apprend à regarder, à mesurer la profondeur de son inspiration jusqu'à « un bruit de larmes souterraines » .
C'est une initiation de notre regard à voir ce qu'il exprime, sa compassion pour la souffrance, la solitude, le dur labeur des hommes et des animaux « le poids d'un jour mort qu'on ramène. » Soulas(La Gerbe Noire 1928) Christiane NOIREAU écrit : « Sous le couvert de peurs imaginaires et de fantasmes enfantins, Soulas a disposé à la fois dans son texte et dans l'imagerie qui l'accompagne, les grandes frayeurs de l'humanité depuis que celle-ci, progressivement, a développé sa rationalité. » Soulas (Les Bêtes de la Nuit 1951) « Il y avait un homme en qui se joignaient miraculeusement le sens aigu de la réalité, l'intuition poétique, une sûreté de métier accomplie, la concision du trait. Je n'hésite pas à dire que SOULAS était un grand artiste, qu'un excès de modestie a seul maintenu dans une pénombre, mais sur les travaux de qui la corrosion du temps n'aura pas de prise, parce qu'il s'est entièrement moqué de la mode et de ses recettes fragiles. En honorant sa mémoire, l'on rend service à l'art lui-même, que l'imposture aux cent visages menace ou accable. Et l'on se donne quelques chances de rendre confiance à un public affolé qui ne sait plus pourquoi ni de quoi il s'ébahit, ni s'il a encore le droit de hausser les épaules. » Jules ROMAINS de l'Académie Française
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