"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'histoire du capitalisme est ponctuée de crises économiques plus ou moins graves et plus ou moins longues ; celle de 1929, une des plus importantes, a marqué les esprits.
Ces crises produisent toujours les mêmes effets : le chômage et la misère parce que l'activité économique est asphyxiée par le désordre de la finance apatride débridée.
Paradoxalement, l'appareil de production peut dans le même temps pro duire une abondance de biens pouvant satisfaire les besoins de gens ; les magasins regorgent de marchandises qui ne peuvent être vendues parce que peu de gens peuvent les acheter ; à chaque fois, la misère gagne comme la peste l'ensemble de la société, celui qui ne peut acheter ruinant celui qui ne peut plus vendre.
Des réponses à ce paradoxe existent, fondées sur le bon sens : ce qui est matériellement possible en vue du bien commun des nations doit l'être financièrement. L'argent n'est pas la matière première de l'économie : c'est le savoir-faire des hommes.
Il faut que les nations se réapproprient la maîtrise de leur destinée et recouvrent leur souveraineté financière et monétaire en se délivrant du mondialisme cosmopolite.
Le présent ouvrage montre comment, en substituant à la monnaie d'endettement de la monnaie permanente, monnaie scripturale de même qualité que l'or, en contrôlant le circuit monétaire, l'État peut, dans le cadre d'une économie orientée, rétablir une économie saine et florissante.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !