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Place à Ridley Scott. 2017 est sans conteste SON année. Qu'Alien Covenant ou Blade Runner 2049 soient de fantastiques réussites ou de formidables navets ne changera rien à ce fait : c'est l'année Ridley Scott, pour ces deux raisons. Il est de ceux qui divisent, jusqu'aux cercles les plus hard des cinéphiles Scott est autant respecté que détesté. Si nous lui consacrons un magazine entier c'est que nous adorons Ridley Scott. Loin de nous l'idée de nier ses échecs, il y en a, c'est indéniable. Mais Ridley Scott est l'homme des Duellistes, d'Alien, de Blade runner, de Black rain, d'American gangster, de La chute du faucon noir, de Thelma et louise, de Kingdom of heaven, de Cartel, et même de Prometheus ! Pour tous ces films nous lui devons le respect, celui que nous accordons aux plus grands. Qui peut se targuer d'une telle filmographie, d'avoir donné parmi les plus beaux films de science-fiction, d'avoir inspiré des générations entières, d'avoir posé les jalons de tout un genre, et enfin, de continuer de créer des plans et des univers qui impacts la rétine de millions de personnes à travers le monde. Ridley Scott est un formidable créateur d'images, un visionnaire comme on dit. Il est l'autre face d'une construction épique et complexe qu'il formait avec Tony, son frère. Tony n'est plus, mais Ridley tient à bout de bras cet édifice auquel nous consacrons aujourd'hui ce numéro, un numéro fabriqué avec le plus grand des respects, et avec une immense humilité. Merci Sir Ridley Scott.
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