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Nul ne peut nier que depuis l'indépendance à nos jours, le Maroc a réalisé des avancées majeures en matière de développement et ce sur tous les plans : économique, social et sociétal, humain, légal et législatif, durable...
Il a connu plusieurs crises ou périodes difficiles, mais il a surmonté à chaque fois ces difficultés en s'adaptant aussi bien aux contraintes internes qu'externes.
Le Maroc a également échappé à la crise du printemps arabe et a pu dépasser ce cap délicat en sauvegardant ses acquis et en s'engageant sur une nouvelle ère de libertés, de droits, d'égalité, et de démocratie.
Mais force est de constater qu'après presque une décennie et malgré la volonté de tous, le Maroc peine à trouver sa place parmi la cour des grands, son modèle de développement s'essouffle et atteint ses limites, sa croissance est timide et n'est pas inclusive.
Il serait donc opportun, vu l'urgence et l'actualité que revêt ce sujet de se pencher sur cette problématique, pour y apporter une modeste contribution, et proposer des pistes de réflexion.
Le Maroc a certes réalisé des acquis, nous en sommes fiers, et nous ne les dénigrons pas. Mais ces acquis restent insuffisants par rapport au potentiel que recèle le Maroc.
Le Maroc a été un bon élève dans beaucoup de disciplines, mais un bon élève qui peut mieux faire, qui doit mieux faire.
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