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La capacité de la planète à nourrir 9 milliards d'humains en 2050 n'est pas acquise et beaucoup va dépendre des conséquences du réchauffement climatique comme de l'évolution des prix des énergies fossiles dont l'agriculture ultra-mécanisée est une grande consommatrice.
Dans ce troisième livre en moins de cinq ans sur cet enjeu majeur, Gérard Le Puill propose de réinventer la manière de conduire les productions agricoles, sur fond de souveraineté alimentaire, en les préservant des effets désastreux d'une concurrence mondialisée, spéculative et mortifère car uniquement basée sur les avantages comparatifs des unes par rapport aux autres selon la vieille théorie de David Ricardo.
En raison de la diversité de son climat, de ses sols et du savoir faire de ses paysans, la France dispose encore de nombreux atouts pour réussir cette révolution copernicienne. Cela suppose de rompre avec la spécialisation outrancière conduite depuis un demi siècle pour réinventer une agriculture écologiquement intensive, peu gourmande en intrants et respectueusement de l'environnement.
Afin de « produire mieux pour manger plus » il faudra inventer des mécanismes de régulation très souples qui seront la règle verte, la planification écologique, l'agro-écologie et l'agroforesterie. Un défi passionnant pour le monde paysan avec le soutien des consommateurs.
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