Rendez-vous le mercredi 16 octobre à 19h sur le site « Un endroit où aller »
Les images architecturales du célèbre photographe sur l'île de Procida au large de Naples en 1972, présentées pour la première fois.
Contrairement aux îles voisines de Capri et d'Ischia, Procida, en 1972, était encore vierge, largement épargnée par le phénomène du tourisme de masse. Ainsi, Paolo Monti, un photographe du nord qui se rendait souvent dans le sud pour travailler, y a passé plusieurs années à effectuer des recherches personnelles pour saisir la morphologie de l'île. Si ses photographies documentent les habitants de l'île - dont de nombreux jeunes gens et enfants - ainsi que la relation des insulaires à la mer, c'est l'architecture qui l'intéresse le plus. Il étudie Borgo di Corricella, la ville principale de l'île, en parcourant chaque centimètre et documentant son « architecture spontanée » : le réseau presque inextricable de ses maisons, églises et escaliers. Un labyrinthe fascinant qui est la quintessence même de la Méditerranée.
Ces images issues des archives du photographe sont présentées ici pour la première fois. Le volume est accompagné d'un essai narratif de Nadia Terranova et d'une réflexion critique de Silvia Paoli.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Rendez-vous le mercredi 16 octobre à 19h sur le site « Un endroit où aller »
En 2024, ces auteurs et autrices nous émerveillent plus que jamais !
Des livres documentaires passionnants et ludiques pour les 7 à 11 ans
Ce road-movie intimiste est l'une des BD à ne pas manquer en cette rentrée