Un douloureux passage à l'âge adulte, entre sensibilité et horreur...
Ce qui frappe d'abord dans la poésie de Frédéric Dieu, c'est son ampleur. A la différence des haïkus de Bashô ou des miniatures de Jean Follain - une inclination spéciale le portait à ce genre de poésie -, il préfère le court paragraphe ; à la forme brève, la marche longue. Rien pourtant de l'accumulation baroque. Ampleur n'est pas surcharge. La longueur ici est moins pour additionner de la matière que pour prolonger le dépouillement : «À se laisser dépouiller de ses jours et laisser choir leur écriture.»
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