"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Au beau milieu d'une crise économique et financière sans précédent depuis quatre-vingts ans, les appels à la réduction des impôts et des dépenses publiques ne laissent pas de surprendre. Pour un peu, les salariés, victimes du chômage, de la précarité et des inégalités, et les États, ayant sauvé de la faillite nombre d'établissements bancaires et financiers, seraient tenus pour responsables de la situation, tandis que les plus riches bénéficient d'un bouclier fiscal, mettant leur fortune et leur revenu à l'abri.
Ce livre Pour un « big bang » fiscal apporte un démenti catégorique à toutes ces divagations idéologiques. Les impôts et tous les prélèvements ne disparaissent pas dans un trou noir. Ils sont réinjectés dans l'économie sous forme de dépenses d'investissement, de fonctionnement des services publics, de subventions ou bien encore de transferts entre catégories sociales. Ils sont l'expression de la citoyenneté parce qu'ils permettent de financer l'action publique, de réduire les inégalités et de modifier certains comportements nuisibles à la société, comme la spéculation et la pollution.
À l'heure où tout le monde reconnaît la nécessité d'une régulation collective forte, où quantité de besoins sociaux, notamment d'éducation, de santé, de retraites, et de préservation écologique ne sont pas encore satisfaits, la société ne souffre pas de trop d'impôts, plutôt d'impôts inadaptés et surtout mal répartis.
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