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Piketty, au piquet !

Couverture du livre « Piketty, au piquet ! » de Frederic Georges-Tudo aux éditions Editions Du Moment
Résumé:

Le Capital au XXIème siècle de l'économiste français Thomas Piketty fait figure de phénomène d'édition. Comment un essai soporifique de 950 pages consacrées à la science économique, peut-il finir sur autant d'étagères ? En assenant que le temps est venu de créer un méga ISF mondial, de manière à... Voir plus

Le Capital au XXIème siècle de l'économiste français Thomas Piketty fait figure de phénomène d'édition. Comment un essai soporifique de 950 pages consacrées à la science économique, peut-il finir sur autant d'étagères ? En assenant que le temps est venu de créer un méga ISF mondial, de manière à corriger l'intolérable explosion des inégalités entre les riches et les pauvres. Reste que cette nouvelle religion surnommée « pikettysme » n'est rien moins qu'une imposture. Loin de servir la vérité scientifique, la bible des égalitaristes la camoufle derrière des tonnes de chiffres tout en la manipulant à son gré. Et ce n'est là que le premier de ses méfaits. Thomas Piketty s'emploie aussi à développer une analyse économique reposant sur une équation mathématique erronée ou invérifiable. À l'arrivée, ce matraquage fiscal, s'il est mis en application - assorti d'une haine farouche de la réussite sociale - aurait des conséquences désastreuses. En particulier pour les catégories modestes.
Démonter un procédé fallacieux, mettre en pièces une théorie bancale et s'alarmer d'une solution néfaste pour les plus pauvres : tel est le triple objectif de cette contre-enquête. En parallèle, Piketty, au piquet ! porte un regard singulier sur l'obsession de l'égalité totale et sur le risque majeur à voir émerger un gourou officiel de cette forme revisitée du collectivisme. Se défendant de toute accointance avec Karl Marx, Thomas Piketty développe en effet une approche encore plus perverse que celle de son ainé. Son credo ? Oui à l'économie de marché, mais à une condition : que les fruits récoltés par les individus soient ensuite pillés par les États qui en disposeront selon leur bon vouloir.

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