"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Dès l'âge de sept ans, Élisabeth Cattez sentit s'éveiller sa vocation. Elle obtient, en 1893, un premier prix de piano au Conservatoire. Le 2 aout 1901, elle entre au carmel de Dijon; elle y fait profession le 11 janvier 1903. Le 21 novembre 1904, elle rédige sa célèbre prière: «Ô mon Dieu, Trinité que j'adore...» Son ascension mystique dans le silence, la vie cachée, la souffrance, s'accomplit comme «louange de gloire de la Trinité». L'influence de Thérèse d'Avila, de Jean de la Croix et de Thérèse de Lisieux l'inscrit profondément dans la tradition carmélitaine.«Je vais à la Lumière, à l'Amour, à la Vie», dit-elle peu avant sa mort en 1906.Elle a été béatifiée le 25 novembre 1984 par le pape Jean-Paul II et canonisée le 16 octobre 2016 par le pape François.Bernard Sesé, professeur émérite des Universités, a publié, aux éditions Desclée de Brouwer, plusieurs biographies de grandes figures religieuses dont saint Augustin, Thérèse d'Avila, Catherine de Sienne, Jean de la Croix.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !