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Pékin Terminus nous conduit avec le narrateur, Maxime Wautiers, jusqu'à Pékin par le Transsibérien.
Nous sommes au printemps 1911. Au cours du trajet, Maxime laisse ses compagnons de voyage raconter ce qu'ils savent de l'empire russe qu'ils traversent, et surtout de l'empire chinois qu'ils rejoignent. Si de pittoresques témoins d'occasion évoquent les espaces aperçus depuis le train, un journaliste et un lazariste français, un pasteur américain, un diplomate chinois enrichissent au fil des verstes et des li, ce qu'il a appris, à Paris, de l'ingénieur naval Léon Rousset, envoyé à Fuzhou, en 1868, par Napoléon III, pour enseigner aux Chinois à construire des navires modernes.
Maxime sait bientôt qui a répandu la cigarette en Chine, la bière, le goût vestimentaire à la façon de l'Ouest ; il mesure la faiblesse du développement industriel de l'Empire, l'inertie de ses quatre cents millions de paysans, l'impuissance des Grands Qing près de tomber au premier coup de vent séditieux. Il se rend à Pékin avec l'aristocratique curiosité de découvrir un autre monde : il ne sera pas déçu.
Ni le lecteur.
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