"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Ces « Paysages bretons » (une cinquantaine en tout) ont été gravés entre 1890 et 1914 par Henri Rivière (1864-1951). « Baie de la Fresnaye », « Bois de pins à Kermarie », « Départ des sardiniers à Tréboul », « Enterrement à Trestraou », « Gabarres devant l'île à Bois », « L'heure du pain à la Ville-Hue », « Le Pardon de Sainte-Anne-la-Palud »... ces lithographies choisissent de montrer la Bretagne, alors en processus de modernisation agricole, économique et culturelle, sous ses aspects les plus traditionnels et pittoresques. Elles rendent aussi hommage manifeste, par le choix des cadrages, la justesse de l'observation, la douceur des couleurs, l'efficace simplicité du dessin et même la présence de cartouches, à l'art japonais très en vogue de l'ukiyo-e (« images du monde flottant »).
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !