80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Paul VI inaugura en 1967 la Journée Mondiale de la Paix, célébrée chaque 1er janvier.
En 1979, Jean-Paul II écrivait : " Je recueille des mains de mon vénéré prédécesseur le bâton de pèlerin de la paix. Je suis sur la route, à vos côtés, avec l'Évangile de la paix. "Bienheureux les artisans de paix" ". Inlassablement, depuis vingt-trois ans, ce nouveau pèlerin de la paix a sillonné les routes du monde, à la rencontre des hommes et des femmes, sous toutes les latitudes et de toutes les religions, à la rencontre aussi des jeunes et des enfants.
D'où lui vient cette patience à enseigner l'Évangile de la paix ? C'est que " la paix est un don de Dieu " et il " dépend des hommes que ce don soit accueilli pour bâtir un monde de paix ". Se souvenant des drames sanglants du XXe siècle, le pape ose confier " À tous, je dis que la paix est possible. Il faut l'implorer comme un don de Dieu, mais il faut aussi la construire jour après jour, avec son aide, par les oeuvres de la justice et de l'amour ".
À la charnière de deux millénaires, en mars 2000, son pèlerinage s'est arrêté à Jérusalem, la cité de la paix. Dans le Mur du Temple, le pèlerin a déposé sa demande de pardon, geste ô combien éloquent ! Comme si ses multiples pèlerinages pour la paix trouvaient leur ultime signification dans cette démarche du successeur de Pierre, pèlerin à Jérusalem. N'avait-il pas déjà écrit que " le pardon offert et reçu est le préalable indispensable pour s'acheminer vers une paix authentique et stable " ?
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