80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Magali Drouet et Sandrine Leclerc font partie de ces gens ordinaires dont le destin a soudainement basculé le 8 mai 2002, lorsque leurs pères ont disparu tragiquement dans l'attentat de Karachi, visant un bus de la Direction des Constructions Navales (DCN). Alors que l'attentat a été attribué à Al-Qaïda, l'enquête prend soudain un tout autre tournant, courant 2009, lorsque le juge Trévidic annonce aux parties civiles qu'un mobile politico-financier lui paraît être une piste « cruellement logique ». Magali et Sandrine sont alors emportées, malgré elles, dans une histoire qui ressemble de plus en plus à un film d'espionnage. Au fil de leur témoignage, le lecteur découvre qu'on leur a caché la vérité dès les premières heures suivant le drame et que sans leur pugnacité, sans le travail de quelques journalistes et l'acharnement d'un juge, cette affaire n'aurait très certainement jamais été dévoilée à l'opinion publique française.
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