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Un survol de toutes les séquences d'une oeuvre développée depuis une trentaine d'années aux confins de la photographie, de la peinture et de la sculpture.
Il n'est pas donné à tous les artistes d'inventer des images jamais vues. Avec la photographie, Natacha Lesueur en a conçu qui n'appartiennent qu'à elle. Leur singularité repose sur l'étrangeté qui les habite. Les modèles qu'elle photographie font l'objet d'adjonctions, de greffes, d'ornements qui leur confèrent une incongruité déconcertante. Qu'il s'agisse de bonnets faits d'arrangements alimentaires en gelée ou bien de pièces montées en forme de chapeaux comestibles ou de fontaines ruisselantes, qu'il s'agisse de coiffures désuètes dessinées à même la photographie et entées de fumées ou de flammes, le coq-à-l'âne dont procèdent ces chimères en fait des rébus visuels aussi séduisants qu'énigmatiques.
Publié à l'occasion de l'exposition éponyme à la Villa Médicis, Rome, en 2021-2022.
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