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« Tout était perdu pour l'Allemagne après la défaite à Mortain » Kurt Dittmar, général de la Wehrmacht, 25 Avril 1945.
Deux mois à peine après le Jour-J en Normandie, l'opération Cobra permet aux Alliés d'accéder aux portes de la Bretagne en un temps record. Enfoncé profondément sur son flanc gauche, le front allemand de Normandie est au bord de l'effondrement. Encore abasourdi par l'attentat du 20 juillet, Hitler n'est pas décidé à retirer ses troupes de ce théâtre d'opérations. Contre l'avis de ses généraux, le Führer planifie seul une contre-attaque d'ampleur des Panzer - sous le nom de code d'opération Lüttich -, afin de couper de leurs arrières les forces blindées américaines avancées jusqu'au-delà d'Avranches. En cas de succès, la 3e armée U.S. de Patton se retrouverait isolée, voire étrillée. Sur le front Ouest, l'armée allemande pourrait alors redresser et stabiliser ses positions pour - selon Hitler - rejeter plus tard les Alliés à la mer. À l'aube du 7 août 1944, plus de 300 blindés allemands se lancent vers l'ouest, à travers les lignes du VII US Army Corps. Dans les deux camps sur le front normand, Mortain devient la clé de voûte
où tout va se jouer ! Là, les projecteurs des états-majors alliés se braquent sur la 30th US-Infantry Division qui, durant six jours de combats acharnés, encaisse le gros du choc de Lüttich. Pour peu de temps, Mortain n'en devient pas moins l'épicentre de l'une des batailles les plus décisives de la Seconde Guerre mondiale.
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