"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Dans une interview accordée à Paris Match, en 1978, après s'être évadé de la prison de la Santé, Jacques Mesrine disait : « Je ne risque pas de vieillir. Je sais très bien que ça se terminera mal... » Il est mort à 43 ans, au volant de sa BMW, sous les balles de l'antigang, le 2 novembre 1979, porte de Clignancourt, à Paris...
On dit qu'après la mort, le cerveau s'emballe avant de s'éteindre lentement. Durant ces quelques dizaines de secondes, Mesrine revit sa vie. Il nous la raconte à sa manière, non pas de façon chronologique, mais au rythme de ses souvenirs : le départ à la guerre de son père, la ferme où sa mère l'a « placé », le retour à Paris, les immeubles éventrés, les rats dans les rues, les orphelins qui se regroupent, les ronds de chocolat vitaminé que l'on distribuait à l'école. Ado, son père le met au collège des prêtres oratoriens de Juilly, en Seine-et-Marne, où il a servi la messe comme enfant de choeur avec le chanteur Jean-Jacques Debout....
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !