"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Femme hors du commun, Marga d'Andurain a défrayé la chronique dans l'entre-deux-guerres, pendant et après la Seconde Guerre mondiale. Elle s'est vu attribuer de nombreux surnoms, tels que :« l'aventurière basque », « la reine de Palmyre », « la Mata Hari du désert », « la comtesse aux vingt crimes », « la maîtresse de Lawrence d'Arabie », « l'amazone du désert », «l'empoisonneuse » ... Si certains sont inappropriés, ils sont néanmoins à l'image de sa personnalité excessive en tout. Dans son livre Le Mari passeport publié en 194 7, Marga se désespère de ne pas être comprise pour ce qu'elle est. De fait, personne n'a cerné quelle était sa particularité rare qui a conduit à la faire exorciser à l'âge de huit ans, à vouloir l'interner plus tard et, aujourd'hui encore, à la considérer comme une psychopathe. En réalité, son surdon explique ses actes et son incroyable destin. Sa vie riche et tumultueuse s'est terminée par une mort violente. En 1948, à cinquante-cinq ans, elle a été assassinée à bord de son yacht dans la baie de Tanger.
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