"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
1994, Californie du sud. Hal Lindley, modeste fonctionnaire, sent que sa vie lui échappe. Sa vie conjugale, en particulier. Sa femme, Susan, pourra-t-elle se contenter longtemps d'un homme comme lui, sans horizons ni matériel ni spirituel ? Ne va-t-elle pas bientôt lui préférer son collègue de bureau, Robert, un jeune loup aux dents longues ? Dans une tentative désespérée de changer la donne, Hal prend le pari fou de quitter un temps son existence désespérément normale pour partir à la recherche de T., le patron de Susan, mystérieusement disparu dans la jungle du Belize. Mais à vouloir ainsi dépasser ses propres limites pour regagner son respect et celui des autres, Hal ne réalise pas encore à quel point, en quittant la civilisation, il se met en danger.
Après Comment rêvent les morts, Lydia Millet se demande quelles ressources nous possédons encore pour dépasser nos vies conventionnelles, paralysées, en quête de sens. À la fois satire sociale, comédie noire et drame psychologique, ce voyage au coeur des ténèbres d'un américain moyen du début de ce siècle en pleine recherche existentielle, qui évoque J.M. Coetzee et Paul Auster, a été salué, lors de sa sortie aux États-Unis, par une critique unanime.
Si j’avais pu lire son précédent roman entièrement, je dois dire que d’entrée de jeu, le style de cette suite ne m’a pas plu : phrases hachées, sujet passant du coq à l’âne, histoire peu intéressante.
Je ne saurais jamais ce qui arrivera au personnage principal, mais cela ne me manquera pas.
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